mercredi 11 mai 2011

Rappel : les textes joués - texte avec Bob l'éponge

Texte avec Bob l'éponge (n°4) modifié, état du 10 mai 2011.

Bob l'éponge, Maggie Simpson, Achille, Homer et un narrateur


Avec insertion des indications de jeu en italique (assistants de mise en scène Nour, Badredine et Sledge)
d'après le travail du jeudi 31 mars et du mardi 10 mai 2011 à la M. G. I.

Sur le plateau, les comédiens qui jouent Bob, Maggie, Achille, Homer et le narrateur sont assis en tailleur horizontalement face au public.
Derrière eux, le choeur. Les dix choristes sont en ligne mais debout, immobiles au début, jambes légèrement écartées, bras le long du corps.



Narrateur : Bob vit sous la mer (le choeur fait le bruit de la vague « pshhhh », et le geste de la vague avec les bras qui ondulent) qui elle-même se trouve sous un pont (le choeur mime un pont avec les bras tendus vers les côtés). La maison de Bob est faite en fraises (un des choristes sera habillé en rouge pour évoquer les fraises) et Bob a deux amis (les choristes se tiennent deux par deux) : Sandi, l'écureuil, et Patrick, l'étoile de mer (les choristes miment une étoile, jambes écartées et bras écartés en forme de X). Dans sa maison se trouve une horloge magique (le choeur répète « une horloge magique !» et fait le bruit de l'horloge) qui exauce les vœux quand quelqu'un commence ses phrases par « je veux...». (les choristes répètent « je veux »)

Un beau jour d'été, (Bob s'étire et se lève, saut de Bob, très content de cette nouvelle journée) Bob sort de son lit très content de cette nouvelle journée qui commence, puis Bob entend des cris par sa fenêtre en fraises. Il court, court très vite (Bob va vers la fenêtre côté court en courant sur place sur le plateau ; il doit avoir l'air étonné quand il voit le bébé) pour voir ce qu'il se passe, et il découvre une petite ombre de bébé (le choeur fait des bruits de bébé).

Bob : Oh petite, que fais-tu là ? Comment t'appelles- tu ? Qu'est-ce que tu fais là toute seule ?

Maggie : Je me suis perdue ! Mon papa était là-bas et il est parti sans moi. J'ai peur.

Bob : Entre ! (le comédien ouvre une porte invisible) Comment t'appelles-tu ?

Maggie : Je m'appelle Maggie Simpson.

Bob : D accord. As-tu faim ?

Maggie : Oui (Maggie cherche ce qu'elle veut manger). (Deux choristes apportent une table, un choriste apporte un bol), je voudrais du chocolat (un autre choriste apporte une tablette de chocolat), du pop corn (un autre choriste apporte du pop corn), des fraises (même jeu) et ma tétine rouge (même jeu).


Narrateur : Bob lui donne des fraises de sa maison. (Pendant ce temps, Bob fait semblant de ramasser des fraises invisibles sur les murs, côté cour et les rapporte à Maggie)


Bob : Oh il est neuf heures ! (le choeur répète « il est neuf heures) je dois aller m'habiller et donner à manger à Gari, mon escargot.

Maggie (s'endormant) : zzzzzzzz ... (quatre des choristes côté jardin font les ronflement, quatre des choristes côté cour enlève silencieusement tout le matériel précédemment apporté).

Bob : Dors bien, petit bébé.

(Maggie se met par terre pour dormir)

Narrateur : Trois heures plus tard. (les choristes font un, deux, trois, très fort)


Maggie : Ah ! ah ! Où es-tu, monsieur l'éponge ? J'ai peur ! (l'air effrayé) Je veux que mon papa revienne ! Je veux rentrer chez moi ! (Les choristes soulignent « elle a dit je veux !»)

Bob : Je suis là ! Je suis là !


Narrateur : A ce moment précis comme Maggie avait dit « je veux », la maison bouge (les choristes bougent de tout leur corps, bras,tremblants jambes tremblantes) car l'horloge magique va exaucer son vœu.


Maggie : L'Éponge ! L'Éponge ! Ça bouge ! Ça bouge ! J'ai peur ! J' ai peur ! (Bob met ses mains sur l'épaule de Maggie)

Bob : Oui moi aussi j'ai peur, mais ne t'inquiète pas, je suis là, près de toi.

Narrateur : Maggie ferme ses yeux de peur (les choristes mettent leurs mains sur leurs yeux, un des choristes apporte une chaise-poussette et Maggie s'assied sur la chaise) et quand elle les rouvre (les choristes enlèvent leurs mains et ouvrent les yeux), elle se trouve dans sa poussette

avec son papa Homer.

Maggie : Papa ! Papa ! Tu es revenu me chercher ! On peut aller voir mon copain l'éponge ?

Homer : Ouais ouais...

Narrateur : En fait tout ça était un rêve de Maggie.

Bruit de tétine de Maggie super contente. (les choristes et les personnages se rapprochent en cercle autour de Maggie puis iront s'asseoir au pied du public, à l'avant du plateau, sauf Achille qui se met face au public en position de guerrier, le narrateur, et Bob qui se dissimule dans le noir, côté cour)


Le narrateur (en fermant le rideau) : Après un bon dîner, Maggie doit aller se coucher. Elle essaie de se souvenir de son nouvel ami ; elle pense très fort à Bob, mais au lieu de se retrouver chez l'Éponge, elle arrive dans la ville de Troie, au moment où Achille est en train de se préparer au combat. Achille entend quelque chose... (le narrateur s'éloigne dans le noir, côté cour)


Achille : Mais que fait cet enfant ici ? (il prend l'enfant dans ses bras) Comment t'appelles-tu ?

Maggie : Maggie, Maggie Simpson.
Achille : Que fais-tu ici, Maggie ?

Maggie : Je n'en sais rien, je voulais retrouver mon ami l'Éponge, et je suis arrivée ici, devant vous.

Achille : A quoi ressemble l'Éponge ?

Maggie : Il s'appelle en fait Bob, il est carré (Maggie dessine un carré invisible), jaune et petit.

Achille : C'est la première fois que j'entends ce nom ! Où est-il ce Bob ?

Maggie : Il vit sous la mer...

Achille : Mais comment fait-il pour respirer ? C'est un homme, n'est-ce pas ?

Maggie : Erreur : c'est une éponge, pas un homme.

Achille : Et il parle ?

Maggie : Oui, pourquoi ne parlerait-il pas ?


Le Narrateur (qui surgit du noir, côté cour, au milieu de Maggie et Achille) : Achille ne croit pas un mot de ce que lui dit Maggie mais il continue de faire comme si c'était le cas... (Il repart dans le noir côté cour.)


Achille : Il a l'air drôle ! J'aimerais bien le rencontrer. Tu pourrais me le dessiner ?

Maggie : D'accord.


Le narrateur (qui surgit du noir, côté cour) : Maggie sort ses crayons et un papier (Maggie prend la chaise pour dessiner dessus, sur une feuille avec des crayons qu'elle sort) et se met à dessiner. Achille regarde par dessus son épaule. (Il repart dans le noir côté cour.)


Achille : Je crois qu'il est temps que tu apprennes la vérité sur les amis imaginaires : ça n'existe pas, ces choses-là.


Le narrateur (même jeu du narrateur qui surgit de l'obscurité côté cour) : Maggie interrompt son dessin, les larmes aux yeux. (Maggie s'essuie les yeux, le narrateur repart dans le noir)


Achille : Mais non ! Ne pleure pas ! (Il caresse Maggie pour la réconforter) C'était une blague ! D'ailleurs, moi aussi, j'en ai un, ami imaginaire.

Maggie : Ah oui ? A quoi il ressemble ton ami imaginaire ?

Achille : Il s'appelle Homère, il est gros, jaune et grand.

Maggie, en éclatant de rire : On dirait mon papa ! Il s'appelle aussi Homer ! Il est drôle ton ami !

Achille : Moi, je te parle d'un Homère poète. Il est poète, ton père ?

Maggie : Non, ils ont juste le même nom. Mais mon ami Bob, quand le reverrai-je ? (reprenant son dessin et le regardant tristement) Je crois que je ne te verrai plus jamais.


Le narrateur (même jeu du narrateur qui surgit du noir) : Maggie fait tomber une larme sur son dessin. (Maggie imite avec un doigt le mouvement d'une larme qui tombe de ses yeux sur son dessin) La nuit tombe. Bientôt, il est minuit. Tout le monde dort (Achille s'endort) sauf Maggie qui n'arrête pas de penser à Bob. Soudain, une ombre apparaît. (Surgissement de Bob côté cour, du noir où il était dissimulé)


Bob : Je t'ai manqué ?

Maggie : Bob ! (elle serre Bob dans ses bras) Comment as-tu fait pour venir me voir ?

Bob : C'est grâce à toi !

Maggie (regardant son dessin) : Tu es sorti de mon dessin ?

Bob : Oui, grâce à tes larmes qui ont effacé toutes les traces de crayon.

(Achille réveillé par les bruits de Maggie apparaît)

Maggie : Regarde Achille ! C'est lui, mon ami Bob ! Je l'ai fait sortir de mon dessin !

Bob, à Achille : Je suis ravi de vous rencontrer.

Achille, en faisant le tour de Bob : Je crois que je force trop sur le vin !

Maggie : Mais non, regarde ! C'est bien Bob !

Achille (secouant la tête) : Alors vous existez vraiment ?

Bob : Exact ! Mais tu sais Maggie, il est minuit, tu devrais aller te coucher.

Maggie : D'accord, bonne nuit à vous deux.

(Achille et Bob se tapent les mains)

Le narrateur : Et au moment où Maggie s'endort à Troie, (les comédiens font un, deux, trois) elle se réveille dans son monde réel, à Springfield et elle voit Homer affalé dans le canapé. A la télévision, le film Troie est en train de passer.

(Mandéra, Pampy, Yacine)

Rappel : les textes joués - le texte avec Zidane

Texte avec Zidane (n°8) modifié le vendredi 11 mars (avec les indications de mise en scène en italique)
Dialogue rédigé par Sledge, Ali S. & Djiby

Marge Simpson, Zinédine Zidane, Homer, un serveur et un narrateur.


Sur scène, 5 comédiens qui joueront les personnages, alignés le long d'une ligne horizontale, en position frontale (face au public), assis en tailleur.

Derrière eux, 5 comédiens, eux aussi alignés horizontalement mais debout, qui incarneront le choeur et feront aussi les changements à vue du décor.



Le narrateur (se lève et fixe le public, le temps d'obtenir son attention) : Marge (pause, la comédienne qui incarne Marge se lève) et Zinédine Zidane (même jeu) se rencontrent sur la planète de la pendule. (Pause du narrateur. Après la pause, le choeur s'anime de la manière suivante : le choriste côté cour commence un « tic-tac », au troisième bruit (tic), les choristes se balancent silencieusement, de tout leur corps de gauche à droite, bras le long du corps, en regardant le public) Cet endroit est rempli de pendules avec lesquelles on peut arrêter le temps, mais aussi voyager dans l'espace en quelques secondes. Les bâtiments sont en pendules, en horloges et en montres. Le temps est indiqué partout. (Pause du narrateur, arrêt du choeur des pendules. Les comédiens qui jouent Marge et Zidane se lèvent et s'avancent sur le plateau, et se retrouvent face à face. Ils marchent sur place pendant que le narrateur parle) Ils se rencontrent le soir quand Zinedine Zidane rentre chez lui, dans la tour de la pendule blanche, sur le palier. (Le narrateur se rassied. Immobilisation de Zidane et Marge, comme un arrêt sur image. Marge doit avoir un air de surprise)

Marge : Mais vous ressemblez à Zinedine Zidane !
Zidane (l'air fier) : Mais je ne lui ressemble pas, c'est moi.
Marge (l'air surprise et admirative) : Wah !
Zidane : Voulez-vous prendre un verre chez moi ?
Marge : Oh oui, avec plaisir !


Le narrateur (se relève. Pendant qu'il parle, les choristes apportent au centre de la scène une table, deux chaises et deux verres. Les chaises sont positionnées de trois-quart vers le public. Puis les choristes rejoignent leur place vers le fond, alignés horizontalement et frontalement ) : Dans la maison de Zidane, autour d'un verre.


Marge (pose sa veste sur le dossier de sa chaise côté cour et s'assied) : Avez-vous une compagne ?
Zidane (en s'asseyant aussi, côté jardin) : Non, malheureusement. Et vous ?
Marge : Oui mais on est sur le point de divorcer.
(Air étonné des pendules en arrêt sur image)

Zidane : Je ne comprends vraiment pas votre mari. Comment fait-il pour s'embrouiller avec une fille comme vous ?
Marge : Ah ce sont les épreuves de la vie... (Soupir des pendules, toujours en arrêt sur image)
Zidane : Vous êtes vraiment très ravissante.
Marge : Oh merci, merci. D'ailleurs, vous aussi.
Zidane : Oui merci, on me l'a souvent dit. Vous avez de jolis cheveux bleus. (Marge, très fière de ses cheveux, les remet en place) C'est une teinture ?
Marge : Heu non... C'est de naissance. Voulez-vous mon numéro de téléphone ?
Zidane : Oui bien-sûr. (il sort son portable et se prépare à enregistrer le numéro de Marge)
(Le choeur répètera en chuchotant 10 H. du côté jardin au côté cour ; chaque choriste se penche vers son voisin en mettant sa main droite sous son menton, comme pour parler discrètement, le dernier choriste répétant à voix haute. Même jeu pour 01 en sens inverse, du côté jardin au côté cour. 90 et 027 seront répétés par tous les choristes ensemble, face au public, toujours en chuchotant).

Marge (elle attend que Zidane soit prêt à enregistrer son numéro) : 10 H. 01 90 027.
Zidane : D'accord, merci.
Marge : Bon monsieur Zidane. Je dois partir. (elle se lève et se place derrière sa chaise)
Zidane (se lève aussi et passe derrière la table pour rejoindre Marge et l'aider à remettre sa veste) : Vous pouvez m'appeler Zinedine.
Marge : D'accord, bon Zinedine, je dois y aller. (Zidane met la veste à Marge. Bruit d'oiseaux du choeur)
Zidane : Au revoir. (Zidane sort au ralenti et se rassied à la place qu'il occupait au départ, sur la ligne horizontale, Marge marche sur place près de la table)


Le narrateur : Marge rentre chez elle, lorsque Homer surgit.

(Homer se lève comme un diable de sa place, il se précipite vers la table, côté jardin, sur laquelle il s'appuie de ses mains sans s'asseoir ; même position de Marge côté cour)
Homer : Où étais-tu passé ?
Marge : Ca ne te regarde pas !
Homer : Si, je dois le savoir !
Marge : Horrrrrh !
Homer : Si je t'énerve, tu me le dis. Puisque c'est comme ça, je vais me coucher. (Il s'éloigne de la table et se couche sur le sol, côté jardin)


Narrateur (se lève de sa place et reste debout pendant le dialogue) : Lorsque Homer est bien endormi, (pause du narrateur, petits ronflements du choeur) Marge revient et se glisse dans le lit. (bruit de coq d'un des choristes) Le lendemain matin, Marge se réveille de bonne heure, (Marge se lève et revient vers la table côté cour, elle se maquille, s'habille...) tandis que Homer dort jusqu' à 14 heures (le choeur répète « 14 heures » d'un air de désapprobation). Il se réveille, étonné. (Pause du narrateur. On voit Homer s'étirer et se lever) Quand il sort de sa chambre, il découvre Marge toute habillée.


Homer : Où vas-tu ?
Marge : Heu... (elle cherche une réponse) Au theâtre.
Homer : Habillée comme ça ?
Marge : Oui. Il faut se faire belle pour cette grande occasion. Au revoir. (Elle marche sur place rapidement)


Narrateur : Aussitôt Marge part au restaurant de la Pendule grâce à sa montre magique. De son côté, Homer veut la suivre mais n'a pas de montre aussi efficace que celle de Marge... (Homer marche sur place, mais comme au ralenti) Il se cache derrière les aiguilles de son réveil et suit Marge d'assez loin... Elle arrive dans un restaurant, (pause du narrateur, un choriste enlève les verres, un autre recouvre la table d'une nappe, tandis que deux autres apportent des couverts et les placent sur la table ; chacun des choristes rejoint ensuite sa place) elle retrouve Zinedine (Zidane se lève de sa place, un bouquet à la main, et s'approche de la table, côté jardin) qui lui offre un bouquet de fleurs, puis elle s'assoit.


Homer : J'en étais sûr ! Elle m'a bien menti.


Narrateur : (Pendant cette réplique du narrateur, jeu muet de Zidane, Marge et du serveur) Il se font la bise, et passent leur commande. Marge prend un cocktail de midi, (le choeur répète la commande, l'air envieux) une horloge sautée de 23 h 33 (même jeu, le choeur répète « de 23 h 33). Zinedine prend un jus de raisin aiguillé (même jeu du choeur avec « un jus de raisin aiguillé) et prend aussi une horloge sautée de 23 h 55 (même jeu du choeur avec « de 23 h 55 »).


Le Serveur : Ça sera tout ?
Zidane : Oui oui merci.


Narrateur : On les sert. Ils trinquent. Zinedine sort du bouquet une bague de fiançaille et ils sont sur le point de se faire un baiser sur la bouche . (Le choeur demande un baiser en répétant à voix basse « un baiser ! Un baiser ! ») Homer, fou de rage, intervient.


Homer : Ha Ha ... Marge ! tu me déçois ! Et d'où vient cette bague ?
Zidane
(se levant) : C'est moi qui la lui ai offerte pour preuve d'amour !
Marge
(elle lui jette à la figure le bouquet de fleurs) : Désolée Homer, mais je te demande le divorce.
Homer : Ah ? tu le veux ? Beh tu l'auras !


Le narrateur : Deux mois plus tard ... (Les choristes et le serveur forment une haie de mariage avec leurs bras. Zidane et Marge, une couronne de marié sur la tête, se placent à l'arrière et passent sous la haie à tour de role) Zinedine et Marge se marient, (musique de mariage, Zidane et Marge se placent face au public au devant de la scène) et ont beaucoup d'enfants footballeurs (quatre choristes se placent de part et d'autres du couple à tour de rôle), et deux filles aux cheveux bleus (deux derniers choristes les rejoignent et tout le monde s'immobilise comme pour une photo. Lumière vive qui rappelle un flash de photo puis noir).


Invitation à la soirée du mardi 17 mai 18 h 30 à la MGI

Le collège PAILLERON & la Maison du Geste et de l'Image (MGI)

INVITATION

(en partenariat avec le Théâtre de la Ville)







Nous vous invitons à venir regarder les élèves de 6e4 le mardi 17 mai à 18 h 30 pour passer une bonne soirée. Nous présenterons deux courtes pièces de théâtre que nous avons nous-mêmes inventées. Il sera question de la famille Simpson mais aussi de Bob l'Éponge, de Zidane ou de Achille... qui se rencontreront.


Lieu de la représentation : Maison du Geste et de l'Image

Adresse : 42 rue Saint Denis, 75001 Paris

Métro : Les Halles (devant la fontaine des Innocents)


Date de la représentation : mardi 17 mai 2011

Heure : 18 h 30 (fin vers 19 h 30 au plus tard)



Les élèves de 6e4 et leurs professeurs



Au centre

samedi 9 avril 2011

vendredi 8 avril 2011

La journée du 31 mars à la MGI vue par Sariaka

Le public

Nour et Badroudine sont les assistants de Madame Decultis, ils sont assis à une table et ils écrivent tout ce qui se passe sur la scène. (Dans le public, on devine aussi notre professeur d'arts plastiques au centre et celui de français à droite)

La journée du 31 mars à la MGI vue par Dounia


Le chœur joue Maggie qui rouvre les yeux.

Dans ce passage, on voit Sariaka et Dounia qui jouent le chœur.

jeudi 7 avril 2011

La journée du 31 mars à la MGI vue par Yanis et Badroudine

Dans ce passage, Maggie a peur car il y a un tremblement de terre. Bob se rapproche d'elle pour la rassurer. La dame qui se trouve devant Maggie est notre metteur en scène. Les élèves derrière Maggie et Bob font le chœur.

Yanis et Badroudine 7/4/11