mercredi 11 mai 2011

Rappel : les textes joués - texte avec Bob l'éponge

Texte avec Bob l'éponge (n°4) modifié, état du 10 mai 2011.

Bob l'éponge, Maggie Simpson, Achille, Homer et un narrateur


Avec insertion des indications de jeu en italique (assistants de mise en scène Nour, Badredine et Sledge)
d'après le travail du jeudi 31 mars et du mardi 10 mai 2011 à la M. G. I.

Sur le plateau, les comédiens qui jouent Bob, Maggie, Achille, Homer et le narrateur sont assis en tailleur horizontalement face au public.
Derrière eux, le choeur. Les dix choristes sont en ligne mais debout, immobiles au début, jambes légèrement écartées, bras le long du corps.



Narrateur : Bob vit sous la mer (le choeur fait le bruit de la vague « pshhhh », et le geste de la vague avec les bras qui ondulent) qui elle-même se trouve sous un pont (le choeur mime un pont avec les bras tendus vers les côtés). La maison de Bob est faite en fraises (un des choristes sera habillé en rouge pour évoquer les fraises) et Bob a deux amis (les choristes se tiennent deux par deux) : Sandi, l'écureuil, et Patrick, l'étoile de mer (les choristes miment une étoile, jambes écartées et bras écartés en forme de X). Dans sa maison se trouve une horloge magique (le choeur répète « une horloge magique !» et fait le bruit de l'horloge) qui exauce les vœux quand quelqu'un commence ses phrases par « je veux...». (les choristes répètent « je veux »)

Un beau jour d'été, (Bob s'étire et se lève, saut de Bob, très content de cette nouvelle journée) Bob sort de son lit très content de cette nouvelle journée qui commence, puis Bob entend des cris par sa fenêtre en fraises. Il court, court très vite (Bob va vers la fenêtre côté court en courant sur place sur le plateau ; il doit avoir l'air étonné quand il voit le bébé) pour voir ce qu'il se passe, et il découvre une petite ombre de bébé (le choeur fait des bruits de bébé).

Bob : Oh petite, que fais-tu là ? Comment t'appelles- tu ? Qu'est-ce que tu fais là toute seule ?

Maggie : Je me suis perdue ! Mon papa était là-bas et il est parti sans moi. J'ai peur.

Bob : Entre ! (le comédien ouvre une porte invisible) Comment t'appelles-tu ?

Maggie : Je m'appelle Maggie Simpson.

Bob : D accord. As-tu faim ?

Maggie : Oui (Maggie cherche ce qu'elle veut manger). (Deux choristes apportent une table, un choriste apporte un bol), je voudrais du chocolat (un autre choriste apporte une tablette de chocolat), du pop corn (un autre choriste apporte du pop corn), des fraises (même jeu) et ma tétine rouge (même jeu).


Narrateur : Bob lui donne des fraises de sa maison. (Pendant ce temps, Bob fait semblant de ramasser des fraises invisibles sur les murs, côté cour et les rapporte à Maggie)


Bob : Oh il est neuf heures ! (le choeur répète « il est neuf heures) je dois aller m'habiller et donner à manger à Gari, mon escargot.

Maggie (s'endormant) : zzzzzzzz ... (quatre des choristes côté jardin font les ronflement, quatre des choristes côté cour enlève silencieusement tout le matériel précédemment apporté).

Bob : Dors bien, petit bébé.

(Maggie se met par terre pour dormir)

Narrateur : Trois heures plus tard. (les choristes font un, deux, trois, très fort)


Maggie : Ah ! ah ! Où es-tu, monsieur l'éponge ? J'ai peur ! (l'air effrayé) Je veux que mon papa revienne ! Je veux rentrer chez moi ! (Les choristes soulignent « elle a dit je veux !»)

Bob : Je suis là ! Je suis là !


Narrateur : A ce moment précis comme Maggie avait dit « je veux », la maison bouge (les choristes bougent de tout leur corps, bras,tremblants jambes tremblantes) car l'horloge magique va exaucer son vœu.


Maggie : L'Éponge ! L'Éponge ! Ça bouge ! Ça bouge ! J'ai peur ! J' ai peur ! (Bob met ses mains sur l'épaule de Maggie)

Bob : Oui moi aussi j'ai peur, mais ne t'inquiète pas, je suis là, près de toi.

Narrateur : Maggie ferme ses yeux de peur (les choristes mettent leurs mains sur leurs yeux, un des choristes apporte une chaise-poussette et Maggie s'assied sur la chaise) et quand elle les rouvre (les choristes enlèvent leurs mains et ouvrent les yeux), elle se trouve dans sa poussette

avec son papa Homer.

Maggie : Papa ! Papa ! Tu es revenu me chercher ! On peut aller voir mon copain l'éponge ?

Homer : Ouais ouais...

Narrateur : En fait tout ça était un rêve de Maggie.

Bruit de tétine de Maggie super contente. (les choristes et les personnages se rapprochent en cercle autour de Maggie puis iront s'asseoir au pied du public, à l'avant du plateau, sauf Achille qui se met face au public en position de guerrier, le narrateur, et Bob qui se dissimule dans le noir, côté cour)


Le narrateur (en fermant le rideau) : Après un bon dîner, Maggie doit aller se coucher. Elle essaie de se souvenir de son nouvel ami ; elle pense très fort à Bob, mais au lieu de se retrouver chez l'Éponge, elle arrive dans la ville de Troie, au moment où Achille est en train de se préparer au combat. Achille entend quelque chose... (le narrateur s'éloigne dans le noir, côté cour)


Achille : Mais que fait cet enfant ici ? (il prend l'enfant dans ses bras) Comment t'appelles-tu ?

Maggie : Maggie, Maggie Simpson.
Achille : Que fais-tu ici, Maggie ?

Maggie : Je n'en sais rien, je voulais retrouver mon ami l'Éponge, et je suis arrivée ici, devant vous.

Achille : A quoi ressemble l'Éponge ?

Maggie : Il s'appelle en fait Bob, il est carré (Maggie dessine un carré invisible), jaune et petit.

Achille : C'est la première fois que j'entends ce nom ! Où est-il ce Bob ?

Maggie : Il vit sous la mer...

Achille : Mais comment fait-il pour respirer ? C'est un homme, n'est-ce pas ?

Maggie : Erreur : c'est une éponge, pas un homme.

Achille : Et il parle ?

Maggie : Oui, pourquoi ne parlerait-il pas ?


Le Narrateur (qui surgit du noir, côté cour, au milieu de Maggie et Achille) : Achille ne croit pas un mot de ce que lui dit Maggie mais il continue de faire comme si c'était le cas... (Il repart dans le noir côté cour.)


Achille : Il a l'air drôle ! J'aimerais bien le rencontrer. Tu pourrais me le dessiner ?

Maggie : D'accord.


Le narrateur (qui surgit du noir, côté cour) : Maggie sort ses crayons et un papier (Maggie prend la chaise pour dessiner dessus, sur une feuille avec des crayons qu'elle sort) et se met à dessiner. Achille regarde par dessus son épaule. (Il repart dans le noir côté cour.)


Achille : Je crois qu'il est temps que tu apprennes la vérité sur les amis imaginaires : ça n'existe pas, ces choses-là.


Le narrateur (même jeu du narrateur qui surgit de l'obscurité côté cour) : Maggie interrompt son dessin, les larmes aux yeux. (Maggie s'essuie les yeux, le narrateur repart dans le noir)


Achille : Mais non ! Ne pleure pas ! (Il caresse Maggie pour la réconforter) C'était une blague ! D'ailleurs, moi aussi, j'en ai un, ami imaginaire.

Maggie : Ah oui ? A quoi il ressemble ton ami imaginaire ?

Achille : Il s'appelle Homère, il est gros, jaune et grand.

Maggie, en éclatant de rire : On dirait mon papa ! Il s'appelle aussi Homer ! Il est drôle ton ami !

Achille : Moi, je te parle d'un Homère poète. Il est poète, ton père ?

Maggie : Non, ils ont juste le même nom. Mais mon ami Bob, quand le reverrai-je ? (reprenant son dessin et le regardant tristement) Je crois que je ne te verrai plus jamais.


Le narrateur (même jeu du narrateur qui surgit du noir) : Maggie fait tomber une larme sur son dessin. (Maggie imite avec un doigt le mouvement d'une larme qui tombe de ses yeux sur son dessin) La nuit tombe. Bientôt, il est minuit. Tout le monde dort (Achille s'endort) sauf Maggie qui n'arrête pas de penser à Bob. Soudain, une ombre apparaît. (Surgissement de Bob côté cour, du noir où il était dissimulé)


Bob : Je t'ai manqué ?

Maggie : Bob ! (elle serre Bob dans ses bras) Comment as-tu fait pour venir me voir ?

Bob : C'est grâce à toi !

Maggie (regardant son dessin) : Tu es sorti de mon dessin ?

Bob : Oui, grâce à tes larmes qui ont effacé toutes les traces de crayon.

(Achille réveillé par les bruits de Maggie apparaît)

Maggie : Regarde Achille ! C'est lui, mon ami Bob ! Je l'ai fait sortir de mon dessin !

Bob, à Achille : Je suis ravi de vous rencontrer.

Achille, en faisant le tour de Bob : Je crois que je force trop sur le vin !

Maggie : Mais non, regarde ! C'est bien Bob !

Achille (secouant la tête) : Alors vous existez vraiment ?

Bob : Exact ! Mais tu sais Maggie, il est minuit, tu devrais aller te coucher.

Maggie : D'accord, bonne nuit à vous deux.

(Achille et Bob se tapent les mains)

Le narrateur : Et au moment où Maggie s'endort à Troie, (les comédiens font un, deux, trois) elle se réveille dans son monde réel, à Springfield et elle voit Homer affalé dans le canapé. A la télévision, le film Troie est en train de passer.

(Mandéra, Pampy, Yacine)

Rappel : les textes joués - le texte avec Zidane

Texte avec Zidane (n°8) modifié le vendredi 11 mars (avec les indications de mise en scène en italique)
Dialogue rédigé par Sledge, Ali S. & Djiby

Marge Simpson, Zinédine Zidane, Homer, un serveur et un narrateur.


Sur scène, 5 comédiens qui joueront les personnages, alignés le long d'une ligne horizontale, en position frontale (face au public), assis en tailleur.

Derrière eux, 5 comédiens, eux aussi alignés horizontalement mais debout, qui incarneront le choeur et feront aussi les changements à vue du décor.



Le narrateur (se lève et fixe le public, le temps d'obtenir son attention) : Marge (pause, la comédienne qui incarne Marge se lève) et Zinédine Zidane (même jeu) se rencontrent sur la planète de la pendule. (Pause du narrateur. Après la pause, le choeur s'anime de la manière suivante : le choriste côté cour commence un « tic-tac », au troisième bruit (tic), les choristes se balancent silencieusement, de tout leur corps de gauche à droite, bras le long du corps, en regardant le public) Cet endroit est rempli de pendules avec lesquelles on peut arrêter le temps, mais aussi voyager dans l'espace en quelques secondes. Les bâtiments sont en pendules, en horloges et en montres. Le temps est indiqué partout. (Pause du narrateur, arrêt du choeur des pendules. Les comédiens qui jouent Marge et Zidane se lèvent et s'avancent sur le plateau, et se retrouvent face à face. Ils marchent sur place pendant que le narrateur parle) Ils se rencontrent le soir quand Zinedine Zidane rentre chez lui, dans la tour de la pendule blanche, sur le palier. (Le narrateur se rassied. Immobilisation de Zidane et Marge, comme un arrêt sur image. Marge doit avoir un air de surprise)

Marge : Mais vous ressemblez à Zinedine Zidane !
Zidane (l'air fier) : Mais je ne lui ressemble pas, c'est moi.
Marge (l'air surprise et admirative) : Wah !
Zidane : Voulez-vous prendre un verre chez moi ?
Marge : Oh oui, avec plaisir !


Le narrateur (se relève. Pendant qu'il parle, les choristes apportent au centre de la scène une table, deux chaises et deux verres. Les chaises sont positionnées de trois-quart vers le public. Puis les choristes rejoignent leur place vers le fond, alignés horizontalement et frontalement ) : Dans la maison de Zidane, autour d'un verre.


Marge (pose sa veste sur le dossier de sa chaise côté cour et s'assied) : Avez-vous une compagne ?
Zidane (en s'asseyant aussi, côté jardin) : Non, malheureusement. Et vous ?
Marge : Oui mais on est sur le point de divorcer.
(Air étonné des pendules en arrêt sur image)

Zidane : Je ne comprends vraiment pas votre mari. Comment fait-il pour s'embrouiller avec une fille comme vous ?
Marge : Ah ce sont les épreuves de la vie... (Soupir des pendules, toujours en arrêt sur image)
Zidane : Vous êtes vraiment très ravissante.
Marge : Oh merci, merci. D'ailleurs, vous aussi.
Zidane : Oui merci, on me l'a souvent dit. Vous avez de jolis cheveux bleus. (Marge, très fière de ses cheveux, les remet en place) C'est une teinture ?
Marge : Heu non... C'est de naissance. Voulez-vous mon numéro de téléphone ?
Zidane : Oui bien-sûr. (il sort son portable et se prépare à enregistrer le numéro de Marge)
(Le choeur répètera en chuchotant 10 H. du côté jardin au côté cour ; chaque choriste se penche vers son voisin en mettant sa main droite sous son menton, comme pour parler discrètement, le dernier choriste répétant à voix haute. Même jeu pour 01 en sens inverse, du côté jardin au côté cour. 90 et 027 seront répétés par tous les choristes ensemble, face au public, toujours en chuchotant).

Marge (elle attend que Zidane soit prêt à enregistrer son numéro) : 10 H. 01 90 027.
Zidane : D'accord, merci.
Marge : Bon monsieur Zidane. Je dois partir. (elle se lève et se place derrière sa chaise)
Zidane (se lève aussi et passe derrière la table pour rejoindre Marge et l'aider à remettre sa veste) : Vous pouvez m'appeler Zinedine.
Marge : D'accord, bon Zinedine, je dois y aller. (Zidane met la veste à Marge. Bruit d'oiseaux du choeur)
Zidane : Au revoir. (Zidane sort au ralenti et se rassied à la place qu'il occupait au départ, sur la ligne horizontale, Marge marche sur place près de la table)


Le narrateur : Marge rentre chez elle, lorsque Homer surgit.

(Homer se lève comme un diable de sa place, il se précipite vers la table, côté jardin, sur laquelle il s'appuie de ses mains sans s'asseoir ; même position de Marge côté cour)
Homer : Où étais-tu passé ?
Marge : Ca ne te regarde pas !
Homer : Si, je dois le savoir !
Marge : Horrrrrh !
Homer : Si je t'énerve, tu me le dis. Puisque c'est comme ça, je vais me coucher. (Il s'éloigne de la table et se couche sur le sol, côté jardin)


Narrateur (se lève de sa place et reste debout pendant le dialogue) : Lorsque Homer est bien endormi, (pause du narrateur, petits ronflements du choeur) Marge revient et se glisse dans le lit. (bruit de coq d'un des choristes) Le lendemain matin, Marge se réveille de bonne heure, (Marge se lève et revient vers la table côté cour, elle se maquille, s'habille...) tandis que Homer dort jusqu' à 14 heures (le choeur répète « 14 heures » d'un air de désapprobation). Il se réveille, étonné. (Pause du narrateur. On voit Homer s'étirer et se lever) Quand il sort de sa chambre, il découvre Marge toute habillée.


Homer : Où vas-tu ?
Marge : Heu... (elle cherche une réponse) Au theâtre.
Homer : Habillée comme ça ?
Marge : Oui. Il faut se faire belle pour cette grande occasion. Au revoir. (Elle marche sur place rapidement)


Narrateur : Aussitôt Marge part au restaurant de la Pendule grâce à sa montre magique. De son côté, Homer veut la suivre mais n'a pas de montre aussi efficace que celle de Marge... (Homer marche sur place, mais comme au ralenti) Il se cache derrière les aiguilles de son réveil et suit Marge d'assez loin... Elle arrive dans un restaurant, (pause du narrateur, un choriste enlève les verres, un autre recouvre la table d'une nappe, tandis que deux autres apportent des couverts et les placent sur la table ; chacun des choristes rejoint ensuite sa place) elle retrouve Zinedine (Zidane se lève de sa place, un bouquet à la main, et s'approche de la table, côté jardin) qui lui offre un bouquet de fleurs, puis elle s'assoit.


Homer : J'en étais sûr ! Elle m'a bien menti.


Narrateur : (Pendant cette réplique du narrateur, jeu muet de Zidane, Marge et du serveur) Il se font la bise, et passent leur commande. Marge prend un cocktail de midi, (le choeur répète la commande, l'air envieux) une horloge sautée de 23 h 33 (même jeu, le choeur répète « de 23 h 33). Zinedine prend un jus de raisin aiguillé (même jeu du choeur avec « un jus de raisin aiguillé) et prend aussi une horloge sautée de 23 h 55 (même jeu du choeur avec « de 23 h 55 »).


Le Serveur : Ça sera tout ?
Zidane : Oui oui merci.


Narrateur : On les sert. Ils trinquent. Zinedine sort du bouquet une bague de fiançaille et ils sont sur le point de se faire un baiser sur la bouche . (Le choeur demande un baiser en répétant à voix basse « un baiser ! Un baiser ! ») Homer, fou de rage, intervient.


Homer : Ha Ha ... Marge ! tu me déçois ! Et d'où vient cette bague ?
Zidane
(se levant) : C'est moi qui la lui ai offerte pour preuve d'amour !
Marge
(elle lui jette à la figure le bouquet de fleurs) : Désolée Homer, mais je te demande le divorce.
Homer : Ah ? tu le veux ? Beh tu l'auras !


Le narrateur : Deux mois plus tard ... (Les choristes et le serveur forment une haie de mariage avec leurs bras. Zidane et Marge, une couronne de marié sur la tête, se placent à l'arrière et passent sous la haie à tour de role) Zinedine et Marge se marient, (musique de mariage, Zidane et Marge se placent face au public au devant de la scène) et ont beaucoup d'enfants footballeurs (quatre choristes se placent de part et d'autres du couple à tour de rôle), et deux filles aux cheveux bleus (deux derniers choristes les rejoignent et tout le monde s'immobilise comme pour une photo. Lumière vive qui rappelle un flash de photo puis noir).


Invitation à la soirée du mardi 17 mai 18 h 30 à la MGI

Le collège PAILLERON & la Maison du Geste et de l'Image (MGI)

INVITATION

(en partenariat avec le Théâtre de la Ville)







Nous vous invitons à venir regarder les élèves de 6e4 le mardi 17 mai à 18 h 30 pour passer une bonne soirée. Nous présenterons deux courtes pièces de théâtre que nous avons nous-mêmes inventées. Il sera question de la famille Simpson mais aussi de Bob l'Éponge, de Zidane ou de Achille... qui se rencontreront.


Lieu de la représentation : Maison du Geste et de l'Image

Adresse : 42 rue Saint Denis, 75001 Paris

Métro : Les Halles (devant la fontaine des Innocents)


Date de la représentation : mardi 17 mai 2011

Heure : 18 h 30 (fin vers 19 h 30 au plus tard)



Les élèves de 6e4 et leurs professeurs



Au centre

samedi 9 avril 2011

vendredi 8 avril 2011

La journée du 31 mars à la MGI vue par Sariaka

Le public

Nour et Badroudine sont les assistants de Madame Decultis, ils sont assis à une table et ils écrivent tout ce qui se passe sur la scène. (Dans le public, on devine aussi notre professeur d'arts plastiques au centre et celui de français à droite)

La journée du 31 mars à la MGI vue par Dounia


Le chœur joue Maggie qui rouvre les yeux.

Dans ce passage, on voit Sariaka et Dounia qui jouent le chœur.

jeudi 7 avril 2011

La journée du 31 mars à la MGI vue par Yanis et Badroudine

Dans ce passage, Maggie a peur car il y a un tremblement de terre. Bob se rapproche d'elle pour la rassurer. La dame qui se trouve devant Maggie est notre metteur en scène. Les élèves derrière Maggie et Bob font le chœur.

Yanis et Badroudine 7/4/11

jeudi 17 mars 2011

Journée du 11 mars à la MGI commentée par Clivens

La rencontre

Deux personnages sont sur la scène. Luc joue ZIDANE et Dounia Marge SIMPSON. Ils se rencontrent, se présentent et leur histoire commence. Assis par terre, Yanis jouera le rôle du serveur et Johan celui d'Homer.

Clivens

Journée du vendredi 11 mars à la M. G. I. vécue par Sophie

Le public regarde la répétition


Clivens et Nour prennent des photos et le reste des élèves regarde la répétition.

Ce que je n'ai pas aimé, c'est que quand le premier groupe passait, le deuxième ne faisait rien. J'ai aimé quand on faisait des pauses avec tout le monde.

J'ai joué les horloges qui faisaient tic-tac, mais ce que je n'ai pas aimé non plus, c'est qu'on restait trop debout.

Sophie


Journée du vendredi 11 mars à la M. G. I. vécue par Sariaka

Les présentations

Le narrateur présente les personnage (Zidane et Marge SIMPSON) et l'endroit où se passe l'action (la planète des pendules). Le narrateur est interprété par Djiby, Zinédine Zidane par Luc, Homer par Johan et le serveur par Yannis.

Pendant que que le narrateur parle, les pendules (au fond) font le bruit d'une horloge et se balancent de gauche à droite.

Le matin on a commencé à joué la scène de théâtre et en fin de matinée nous avons joué au jeu de flip-flap. L'après-midi on a amélioré la pièce et ajouté des accessoires.

Sariaka

Journée du vendredi 11 mars à la M. G. I. vécue par Dounia

Marge et les pendules


Marge est interprétée par Dounia (c'est moi), et les pendules (au fond) par Sophie, Morgane, Nicolas, Ali et Dayana.

Dayana fait tic-tac et les autres se balancent de gauche à droite. Yanis apprend son texte avant d'entrer en scène pour jouer le serveur.

Ce que j'ai aimé, c'est qu'on est parti de rien : c'est nous qui avons fait les gestes pour les accorder au texte et ça nous a fait une pièce de théâtre intéressante et belle à voir.

Dounia



texte n°4 nouvelle version

Le vendredi 11 mars 2011, les élèves de 6e4 sont allés travailler de 8 h à 16 h à la Maison du Geste et de l'Image (M. G. I.) et ont travaillé avec la comédienne et auteur Claudie DECULTIS sur la mise en scène du dialogue qu'ils avaient écrit, entre Marge SIMPSON et Zinédine ZIDANE.

Peu à peu, des choix de mise en scène ont émergé, qu'un élève de la classe, Désir, qui s'était porté volontaire pour être assistant de la metteur en scène, a été chargé de noter. Ce sont ses notes que j'ai insérées dans le corps du texte, en italique, afin que les élèves gardent en mémoire ces indications scéniques pour la prochaine séance.

Pascal CRUZEL,
professeur de français de la classe.

Texte 8 modifié le vendredi 11 mars

(avec les indications de mise en scène en italique, notées par Désir)

Dialogue rédigé par Sledge, Ali S. & Djiby

Marge Simpson, Zinédine Zidane, Homer, un serveur et un narrateur.


Sur scène, 6 comédiens qui joueront les personnages, alignés le long d'une ligne horizontale, en position frontale (face au public), assis en tailleur.

Derrière eux, 5 comédiens, eux aussi alignés horizontalement mais debout, qui incarneront le choeur et feront aussi les changements à vue du décor.



Le narrateur (se lève et fixe le public, le temps d'obtenir son attention) : Marge (pause, la comédienne qui incarne Marge se lève) et Zinédine Zidane (même jeu) se rencontrent sur la planète de la pendule. (Pause du narrateur. Après la pause, le choeur s'anime de la manière suivante : le choriste côté cour commence un « tic-tac », au troisième bruit (tic), les choristes se balancent silencieusement, de tout leur corps de gauche à droite, bras le long du corps, en regardant le public) Cet endroit est rempli de pendules avec lesquelles on peut arrêter le temps, mais aussi voyager dans l'espace en quelques secondes. Les bâtiments sont en pendules, en horloges et en montres. Le temps est indiqué partout. (Pause du narrateur, arrêt du choeur des pendules. Les comédiens qui jouent Marge et Zidane se lèvent et s'avancent sur le plateau, et se retrouvent face à face. Ils marchent sur place pendant que le narrateur parle) Ils se rencontrent le soir quand Zinedine Zidane rentre chez lui, dans la tour de la pendule blanche, sur le palier. (Le narrateur se rassied. Immobilisation de Zidane et Marge, comme un arrêt sur image. Marge doit avoir un air de surprise)

Marge : Mais vous ressemblez à Zinedine Zidane !
Zidane (l'air fier) : Mais je ne lui ressemble pas, c'est moi.
Marge (l'air surprise et admirative) : Wah !
Zidane : Voulez-vous prendre un verre chez moi ?
Marge : Oh oui, avec plaisir !


Le narrateur (se relève. Pendant qu'il parle, les choristes apportent au centre de la scène une table, deux chaises et deux verres. Les chaises sont positionnées de trois-quart vers le public. Puis les choristes rejoignent leur place vers le fond, alignés horizontalement et frontalement ) : Dans la maison de Zidane, autour d'un verre.


Marge (pose sa veste sur le dossier de sa chaise côté cour et s'assied) : Avez-vous une compagne ?
Zidane (en s'asseyant aussi, côté jardin) : Non, malheureusement. Et vous ?
Marge : Oui mais on est sur le point de divorcer.
(Air étonné des pendules en arrêt sur image)

Zidane : Je ne comprends vraiment pas votre mari. Comment fait-il pour s'embrouiller avec une fille comme vous ?
Marge : Ah ce sont les épreuves de la vie... (Soupir des pendules, toujours en arrêt sur image)
Zidane : Vous êtes vraiment très ravissante.
Marge : Oh merci, merci. D'ailleurs, vous aussi.
Zidane : Oui merci, on me l'a souvent dit. Vous avez de jolis cheveux bleus. (Marge, très fière de ses cheveux, les remet en place) C'est une teinture ?
Marge : Heu non... C'est de naissance. Voulez-vous mon numéro de téléphone ?
Zidane : Oui bien-sûr. (il sort son portable et se prépare à enregistrer le numéro de Marge)
(Le choeur répètera en chuchotant 10 H. du côté jardin au côté cour ; chaque choriste se penche vers son voisin en mettant sa main droite sous son menton, comme pour parler discrètement, le dernier choriste répétant à voix haute. Même jeu pour 01 en sens inverse, du côté jardin au côté cour. 90 et 027 seront répétés par tous les choristes ensemble, face au public, toujours en chuchotant).

Marge (elle attend que Zidane soit prêt à enregistrer son numéro) : 10 H. 01 90 027.
Zidane : D'accord, merci.
Marge : Bon monsieur Zidane. Je dois partir. (elle se lève et se place derrière sa chaise)
Zidane (se lève aussi et passe derrière la table pour rejoindre Marge et l'aider à remettre sa veste) : Vous pouvez m'appeler Zinedine.
Marge : D'accord, bon Zinedine, je dois y aller. (Zidane met la veste à Marge)
Zidane : Au revoir. (Zidane sort au ralenti et se rassied à la place qu'il occupait au départ, sur la ligne horizontale, Marge marche sur place près de la table)


Le narrateur : Marge rentre chez elle, lorsque Homer surgit.

(Homer se lève comme un diable de sa place, il se précipite vers la table, côté jardin, sur laquelle il s'appuie de ses mains sans s'asseoir ; même position de Marge côté cour)
Homer : Où étais-tu passé ?
Marge : Ca ne te regarde pas !
Homer : Si, je dois le savoir !
Marge : Horrrrrh !
Homer : Si je t'énerve, tu me le dis. Puisque c'est comme ça, je vais me coucher. (Il s'éloigne de la table et se couche sur le sol, côté jardin)


Narrateur (se lève de sa place et reste debout pendant le dialogue) : Lorsque Homer est bien endormi, (pause du narrateur, petits ronflements du choeur) Marge revient et se glisse dans le lit. (bruit de coq d'un des choristes) Le lendemain matin, Marge se réveille de bonne heure, (Marge se lève et revient vers la table côté cour, elle se maquille, s'habille...) tandis que Homer dort jusqu' à 14 heures (le choeur répète « 14 heures » d'un air de désapprobation). Il se réveille, étonné. (Pause du narrateur. On voit Homer s'étirer et se lever) Quand il sort de sa chambre, il découvre Marge toute habillée.


Homer : Où vas-tu ?
Marge : Heu... (elle cherche une réponse) Au théâtre.
Homer : Habillée comme ça ?
Marge : Oui. Il faut se faire belle pour cette grande occasion. Au revoir. (Elle marche sur place rapidement)


Narrateur : Aussitôt Marge part au restaurant de la Pendule grâce à sa montre magique. De son côté, Homer veut la suivre mais n'a pas de montre aussi efficace que celle de Marge... (Homer marche sur place, mais comme au ralenti) Il se cache derrière les aiguilles de son réveil et suit Marge d'assez loin... Elle arrive dans un restaurant, (pause du narrateur, un choriste enlève les verres, un autre recouvre la table d'une nappe, tandis que deux autres apportent des couverts et les placent sur la table ; chacun des choristes rejoint ensuite sa place) elle retrouve Zinédine (Zidane se lève de sa place, un bouquet à la main, et s'approche de la table, côté jardin) qui lui offre un bouquet de fleurs, puis elle s'assoit.


Homer : J'en étais sûr ! Elle m'a bien menti.


Narrateur : (Pendant cette réplique du narrateur, jeu muet de Zidane, Marge et du serveur) Il se font la bise, et passent leur commande. Marge prend un cocktail de midi, (le choeur répète la commande, l'air envieux) une horloge sautée de 23 h 33 (même jeu, le choeur répète « de 23 h 33). Zinédine prend un jus de raisin aiguillé (même jeu du choeur avec « un jus de raisin aiguillé) et prend aussi une horloge sautée de 23 h 55 (même jeu du choeur avec « de 23 h 55 »).


Le Serveur : Ça sera tout ?
Zidane : Oui oui merci.


Narrateur : On les sert. Ils trinquent. Zinédine sort du bouquet une bague de fiançailles et ils sont sur le point de se faire un baiser sur la bouche (bruit d'oiseaux du choeur). Homer, fou de rage, intervient.


Homer : Ha Ha ... Marge ! tu me déçois ! Et d'où vient cette bague ?
Zidane
(se levant) : C'est moi qui la lui ai offerte pour preuve d'amour !
Marge
(elle lui jette à la figure le bouquet de fleurs) : Désolée Homer, mais je te demande le divorce.
Homer : Ah ? tu le veux ? Beh tu l'auras !


Le narrateur : Deux mois plus tard ... (Les choristes et le serveur forment une haie de mariage avec leurs bras. Zidane et Marge, une couronne de marié sur la tête, se placent à l'arrière et passent sous la haie à tour de role) Zinédine et Marge se marient, (musique de mariage, Zidane et Marge se placent face au public au devant de la scène) et ont beaucoup d'enfants footballeurs (quatre choristes se placent de part et d'autres du couple à tour de rôle), et deux filles aux cheveux bleus (deux derniers choristes les rejoignent et tout le monde s'immobilise comme pour une photo. Lumière vive qui rappelle un flash de photo puis noir).


mercredi 9 février 2011

Dialogue rédigé par Yannis, Luc & Rayan (Achille & C. J.)

C. J., Achille et le narrateur

Le narrateur : Sur une énorme planète vert où tout est différent, Achille et C. J. se retrouvent dans une forêt sombre peuplée d'animaux inconnus sur terre.

Achille : Quel est ce bruit, où suis-je ?

Le narrateur : Achille entend des coup de feux, il décide de se cacher derrière un buisson car il n'a jamais entendu ce bruit de détonnation.

C. J. : Ha ha ha ha ha, vous ne faites pas le poids contre moi !

C. J. voit un buisson bouger et tire dessus mais Achille décide de sortir et de lever les mains.

C. J. : Qui es-tu ?
Achille : Je m'appelle Achille et toi comment t'appelles-tu ?
C. J. : je m'appelle C.J. Que fais-tu ici ?
Achille : Je ne sais pas ! Et toi, que fais-tu ici ?
C. J. : je chasse et je m'entraîne en même temps. As-tu faim ?
Achille : Oui j'ai faim.

Le narrateur : C. J. voit un sanglier, l'abat et le mange. Il en propose quelques morceaux à Achille.

Achille : Qu'est-ce que c'est bon ! J'en reprendrais avec plaisir.
C. J. : As-tu un endroit où dormir ?
Achille : Non, je t'ai dit que je venais d'arriver.
C. J. : Comment vas-tu faire alors ?
Achille : Je ne sais pas !
C. J. : je connais un endroit où dormir !
Achille : Où ?
C. J. : Dans ma grotte.
Achille : Ok.

Le narrateur : Le soir venu, C.J fait un feu pour se réchauffer. Achille, qui s'était endormi, se réveille et aperçoit les plans de C.J.

Achille : Que fais-tu avec ces plans ?
C. J. : Je veux tuer le roi de cette planète !
Achille : Pourquoi ?
C. J. : Car il a tué ma famille !
Achille : Je t'aiderai à tuer le roi.
C. J. : Non, c'est trop dangereux.
Achille : Ne t'inquiète pas pour moi, je ne risque rien car je suis un demi-dieu.
C. J. : Prouve-le moi !
Achille : Je te montrerai mon pouvoir !
C. J. : Et quel est ton pouvoir ?

Le narrateur : Alors Achille montra son pouvoir à C. J. : il pouvait invoquer et faire apparaître des monstres effrayants.

C. J. : Waouw, impressionnant ce pouvoir ! Nous partirons à l'aube, en attendant, révisons notre plan !
Achille : D'accord !

Le narrateur : Le jour se lève. Il est temps de partir pour C. J. et Achille.

C. J. : partons !

Note de M. CRUZEL : texte inachevé.

Dialogue rédigé par Sophie & Jennifer (C. J. et les Simpsons)

C. J., Moe, Homer, Lisa, Bart, Marge et le narrateur:

C. J. : Bonjour, est-ce que je pourais avoir une bière s'il vous plaît ?
Moe : Oui ça sera un dollar.
C. J. : Tiens, un dollar.
Moe : Tiens, ta bière.
Homer : C'est qui ce mec ? Je l'ai jamais vu.
C. J. : Ah ! c'est toi, Homer ! Celui qui passe à la télé avec son gros ventre ?
Homer : De quoi tu parles ?
Moe : Au fait, qu'est-ce que tu fais à Springfield ?
C. J. : J'ai oublié de vous dire que je viens de loin, de Los Angeles.
Homer : Alors tu vas dormir chez qui ?
C. J. : Je ne sais pas.
Homer : Tu sais, si tu descends dans un hôtel, tu devras payer 100 dollars, alors viens plutôt dormir chez moi.
C. J. : D'accord.

Le narrateur : C. J. arrive quelques minutes plus tard chez Homer, où tout le monde est occupé dans le salon...

C. J. : Bonjour Lisa, ça va comme tu veux ?
Lisa : Mais laisse moi ! Je joue du saxophone ! Comment tu connais mon prénom, d'abord ?
C. J : Ah! ah! ah! je te regarde tous les soirs sur W9 et vous êtes trop marrants, ta famille et toi !
Homer : Tu dormiras dans la chambre de Bart .
C. J : D'accord.
Bart : C'est qui lui ? Toi, papa, tu es d'accord pour qu'il dorme dans ma chambre, mais pas moi.
Marge : Bart, sois gentil avec les autres.
C. J. : Tu sais, Bart, moi non plus, quand j'étais petit, je ne voulais pas partarger ma chambre.
Bart : Alors raison de plus ! Pourquoi je partagerais la mienne ? Il ne dormira pas dans ma chambre !
C. J. : On peut regarder W9 ?
Homer : C'est quoi cette chaîne ? On a plusieurs chaînes mais je ne les connais pas toutes.
C. J. : Ah bon ?
Homer : Oui !
C. J. : Tu sais Homer, vos nouveaux épisodes sont supers !
Homer : Quels nouveaux épisodes ?
C. J. : Eh bien, ceux où tu as rencontré Duff Man.
Homer : Comment tu sais?
C. J. : J'ai dit que je t'avais vu, à la télé.
Homer : Quoi ? Moi ? je passe à la télé ?

Le narrateur : C. J. allume la télévision et Homer s'y voit...

Homer : Alors je serais un héros ?


Dialogue rédigé par Sledge, Ali S. & Djiby (Marge Simpson, Zinedine & Homer)

Marge Simpson, Zinédine Zidane, Homer, et un narrateur

Le narrateur : Marge et Zinédine Zidane se rencontrent sur la planète de la pendule. Cet endroit est rempli de pendules avec lesquelles on peut arrêter le temps, mais aussi voyager dans l'espace en quelques secondes. Les bâtiments sont en pendules, en horloges et en montres. Le temps est indiqué partout. Ils se rencontrent le soir quand Zinedine Zidane rentre chez lui, dans la tour de la pendule blanche, sur le palier.

Marge : Mais vous ressemblez à Zinedine Zidane.
Zidane : Mais je ne lui ressemble pas, c'est moi.
Marge : Wah !
Zidane : Voulez-vous prendre un verre chez moi ?
Marge : Oh oui avec plaisir.

Le narrateur : Dans la maison de Zidane, autour d'un verre.

Marge : Avez-vous une compagne ?
Zidane : Non, malheureusement.
Zidane : Et vous ?
Marge : Oui mais on est sur le point de divorcer.
Zidane : Je ne comprends vraiment pas votre mari. Comment fait-il pour s'embrouiller avec une fille comme vous ?
Marge : Ah ce sont les épreuves de la vie...
Zidane : Vous êtes vraiment très ravissante.
Marge : Oh merci, merci. D'ailleurs, vous aussi.
Zidane : Oui merci, on me l'a souvent dit. Vous avez de jolis cheveux bleus. C'est une teinture ?
Marge : Heu non... C'est de naissance. Voulez-vous mon numéro de téléphone ?
Zidane : Oui bien-sûr.
Marge : 10 H. 01 90 027.
Zidane : D'accord, merci.
Marge : Bon monsieur Zidane. Je dois partir.
Zidane : Vous pouvez m'appeler Zinedine.
Marge : D'accord, bon Zinedine, je dois y aller.
Zidane : Au revoir.

Le narrateur : Marge rentre chez elle, lorsque Homer surgit.

Homer : Où étais-tu passé ?
Marge : Ca ne te regarde pas !
Homer : Si, je dois le savoir !
Marge : Horrrrrh !
Homer : Si je t'énerve, tu me le dis. Puisque c'est comme ça, je vais me coucher.

Narrateur : Lorsque Homer est bien endormi, Marge revient et se glisse dans le lit. Le lendemain matin, Marge se réveille de bonne heure, tandis que Homer dort jusqu' à 14 heures. Il se réveille, étonné. Quand il sort de sa chambre, il découvre Marge toute habillée.

Homer : Où vas-tu ?
Marge : Heu... Au theâtre.
Homer : Habillée comme ça ?
Marge : Oui. Il faut se faire belle pour cette grande occasion. Au revoir.

Narrateur : Aussitôt Marge part au restaurant de la Pendule grâce à sa montre magique. De son côté, Homer veut la suivre mais n'a pas de montre aussi efficace que celle de Marge... Il se cacha derrière les aiguilles de son réveil et suit Marge d'assez loin... Elle arrive dans un restaurant, elle retrouve Zinedine qui lui offre un bouquet de fleurs, puis elle s'assoit.

Homer : J'en étais sûr ! Elle m'a bien menti.

Narrateur : Il se font la bise, et passent leur commande. Marge prend un cocktail de midi , une horloge sautée de 23h33. Zinedine prend un jus de raisin aiguillé et prend aussi une horloge sautée de 23h55.

Le Serveur : Ça sera tout ?
Zinedine : Oui oui merci.

Narrateur : On les sert. Ils trinquent. Zinedine sort du bouquet une bague de fiançaille et ils sont sur le point de se faire un baiser sur la bouche. Homer, fou de rage, intervient.

Homer : Ha Ha ... Marge ! tu me déçois ! Et d'où vient cette bague ?
Zinedine
(se levant) : C ' est moi qui la lui ai offerte pour preuve d'amour
Marge : Désolée Homer, mais je te demande le divorce.
Homer : Ah ? tu le veux ? Beh tu l'auras !

Le narrateur : Deux ans plus tard ... Zinedine et Marge se marient, et ont beaucoup d'enfants footballeurs et deux filles aux cheveux bleus.


Dialogue rédigé par Sariaka, Badroudine & Nour (Homer, Harry Potter & Christophe Colomb)

Homer, Christophe Colomb, Harry potter, Marge.

Harry Potter et Homer sont dans un bar. Ils boivent une bière puis Homer s'assoit sur la baguette magique d'Harry .

Harry Potter : Eh ! Tu es assis sur ma baguette !
Homer : Désolé, je l'ai pas vu. Pourquoi as-tu un bâton ?
Harry Potter : Ce n'est pas un bâton mais c'est une baguette magique.
Homer : Une baguette magique ? Mais ça n'existe pas la magie !
Harry Potter : Si ! La magie ça existe !

(Puis Harry Potter fait une démonstration de magie à Homer sur les verres de bière)

Homer : C'est super ! Il a transformé des verres de bières en tarte à la myrtille !
Harry Potter : Alors tu me crois maintenant ?
Homer : Oui, j'adore ! Eh Op ! Un coup de magie d'Homer Simpson !

(Homer vole la baguette d'Harry Potter)

Harry potter : Pourquoi as-tu volé ma baguette ?
Homer : Car je voulais avoir le pouvoir absolu.
Harry Potter : Mais tu sais même pas t'en servir.
Homer : T'en fais pas pour moi : je vais apprendre.
Harry Potter : Comment ?
Homer : A la bibliothèque, il y a des livres de magie.
Harry Potter : Moi, je n'en crois pas un mot !
Homer : Si ça existe !
Harry Potter : Essaie d'en trouver alors ! Mais maintenant rends-moi ma baguette !
Homer : Non !
Harry Potter : Tant pis pour toi ! Je vais t'envoyer dans l'espace.
Homer : Non !
Harry Potter : Hélas ! Pour les gens qui ne veulent pas me croire...

Dans l'espace.

Christophe Colomb : qui es-tu ? Qu'est-ce que tu fais là ?
Homer : Bonjour monsieur ! Je m'appelle Homer et euhh ! Un certain Harry Potter m'a jeté un mauvais sort, dirait-on ! Et je suis ici, dans l'espace. Et toi qui es-tu ?
Christophe Colomb : Je m'appelle Christophe Colomb et je vis dans l'espace.
Homer : tu sais comment faire fonctionner cette baguette ?
Christophe Colomb : Une baguette ?
Homer : Oui !
Christophe Colomb : La magie est interdite sur ma planète.
Homer : Elle est interdite ?
Christophe Colomb : Fais gaffe, les magiciens ne sont pas les bienvenus ici.
Homer : Dis-moi au moins comment tu fais pour vivre ici.
Christophe Colomb : Écoute alors ! Il était une fois un couple de magiciens qui voulait vraiment avoir un enfant. Ils ont conclu un pacte avec le diable pour avoir un petit garçon. Mais à sa naissance, le diable a voulu prendre le petit garçon. Pour protéger l'enfant, ses parents l'ont caché dans l'espace. Une histoire vieille de six cent ans, comme mon âge.
Homer : Ah oui, j'ai bien compris : l'enfant, c'est toi alors ?
Christophe Colomb : Eh oui, en un peu plus vieux bien sûr... Entre temps, mes parents se sont jurés de ne plus procéder à la magie. Et moi aussi, sur leur tombeau.
Homer : Mais il s'agit ici d'une situation exceptionnelle, tu comprends, je l'espère d'ailleurs ! Accorde moi une faveur, je veux retourner sur la Terre, et boire de la bière.
Christophe Colomb : Hélas mon garçon ! Je ne peux rien faire pour toi !
Homer : Et pourtant tes parents étaient magiciens !
Christophe Colomb : Justement pour rompre le pacte avec le diable, mes parents ont été obligés de quitter la terre et de se débarrasser de tout pouvoir magique. Si je tente d'en utiliser, le diable pourra me retrouver.
Homer : Alors ! Ne me dis pas que je reste ici ?
Christophe Colomb : Désolé ! Tu vas vivre ici éternellement comme moi !
Homer : Non ! Ici c'est un désert, sans voiture, sans magasin, sans femme, sans enfant, sans bière ! Je veux rentrer.
Christophe Colomb : Pourtant on aurait dit que tu ne voulais plus voir tes enfants, ta femme, la vie sur terre. Et c'est pour cela que
tu as volé la baguette d'Harry Potter et que tu voulais l'utiliser, pour que ton monde change à ton gré. Hélas pour toi, tu ne reverras plus la Terre.
Homer : Non ! Christophe, je veux y retourner. Tu m'as entendu, y retourner ! Non ! Non ! Et non ! J'aime bien ma vie de Terrien !

Sur terre, chez les Simpsons, dans le salon où Homer dort...

Marge : Chéri, t'as fait un cauchemar ? Tu t'es endormi en regardant le film d'Harry Potter... Et n'oublie pas d'éteindre la télé et de ranger ce DVD « la Découverte de l'Amérique » !

Dialogue rédigé par Samba, Nicolas, Clivens (Jeanne d'Arc, Zidane, Chopper...)

Zidane, Jeanne d'Arc, Choper, le Proviseur, des soldats anglais, un narrateur

Le narrateur : Au 15e siècle, Jeanne d'Arc est pourchassée par des Anglais. Elle trouve une porte, l' ouvre et se retrouve dans un collège dans une classe de 3ème, en plein 20e siècle.
C'est le jour de la rentrée pour les 3ème1. Dans cette classe de 3e, les bavards sont Zidane et Jeanne d'Arc... qui se demande où elle se trouve.
Le professeur les surprend en train de bavarder. Alors il demande à un autre élève célèbre, Chopper, de les amener chez le proviseur mais il n' y a personne.

Ils ouvrent la porte du bureau du proviseur.

Zidane : Où est le proviseur ?
Jeanne d'Arc : Je n'en sais rien.
Chopper : C'est bizarre.
Zidane : Sortons d' ici.

Clac !!! la porte se referme

Chopper : Je commence à avoir peur.
Zidane : Sortons par la fenêtre.
Jeanne d'Arc : Il a raison ! Essayons.

Brac la fenêtre claque.

Zidane : Il faut rester calme, il ne faut pas s' inquiéter.
Jeanne d'Arc : Je suis sûre que c'est encore un coup des Anglais, ils ont dû passer avec moi par la porte quand je l'ai traversée.
Zidane : Qui sont les Anglais ?
Jeanne d'Arc : Ce sont des personnes qui nous traitent comme des esclaves.
Chopper : J'ai un mauvais pressentiment...
Zidane : Bon essayons de trouver une sortie.
Jeanne d' Arc : Oui tu as raison.

Le narrateur : Zidane essaie de casser les carreaux de la fenêtre avec son ballon mais il ne réussit pas. Chopper et Jeanne d' arc essayent d'enfoncer la porte mais ils n'y arrivent pas. Alors Zidane se joint à eux et la porte cède.

Zidane : On a réussi !
Jeanne d'Arc : Oui !
Chopper : C'est super !
Jeanne d'Arc : Bon maintenant, cherchons le proviseur !
Chopper et Zidane : Oui.

Arrivée des anglais dans le couloir.

Jeanne d' Arc : Oh non ! j'en étais sûre, des Anglais !
Zidane : Ils ressemblent à ça les Anglais ? C'est bizarre leur maillot de foot...
Chopper : Moi j'ai trop peur !
Zidane : On va tous les combattre.
Jeanne d'Arc : D'accord.
Chopper : Je suis d'accord.

Et ils s'affrontent.

Chopper : Oui ! On les a battus.
Zidane : J'ai trouvé une lettre !
Jeanne d'Arc : Montre-la moi.
(Elle lit la lettre) Chers enfants, des Anglais m' ont kidnappé et m' ont agressé. S' il vous plaît, venez me délivrer, je suis au C...
Zidane : Il n' a pas terminé sa phrase...
Jeanne d'Arc : Il doit être dans un endroit dont le nom commence par C...
Zidane et Chopper : Le C. D. I. !
Chopper : Vite ! Dépêchons nous !

Au CDI

Voix d'Anglais : Vous arrivez trop tard. You're too late !
Jeanne d'Arc : Qui êtes-vous ?
Voix d'Anglais : Nous sommes l'armée anglaise.
Zidane : Relâchez le proviseur !
(A Jeanne) Occupe-toi des gardes Jeanne d' Arc, et moi je m'occupe de délivrer le proviseur.
Jeanne d'Arc : Tu peux compter sur moi.

Ils attaquent les Anglais, et ils retrouvent le proviseur ligoté dans le C.D.I.

Jeanne d' Arc : Vous allez bien monsieur ?
Le Proviseur : Oui ça va !
Zidane : Tout est bien qui finit bien !
Chopper : ça tu l'as dit !

Dialogue rédigé par Pampy, Dayana & Morgane (Jeanne d'Arc, Achille et le Serpent)

Achille, Jeanne D'arc, le serpent et le narrateur

Le narrateur : Achille et Jeanne d'Arc se rencontrent dans le jardin d'Eden, là où il n'y a pas de honte à être dénudé, là où il y a l'arbre de la connaissance et celui qui nous rend immortels, l'arbre de la vie éternelle, là où il n' y a pas de guerre, où on ne mange pas de nourriture animale, où on peut entendre les bruits des oiseaux qui chantent. Nous sommes en été, le matin, au temps d'Adam et Eve.
De loin chacun des deux personnages aperçoit une ombre se diriger vers lui. Tous les deux sont surpris de se retrouver avec un inconnu dans le jardin d'Eden.

Jeanne : Qui êtes vous ?
Achille : Achille de Grèce, et vous ?
Jeanne : Je m'appelle Jeanne d'Arc, de Lorraine, en France. Je suis une guerrière. Que venez vous faire ici ?
Achille : Je suis venu ici pour chercher l'épée d'or, perdue il y a des siècles .
Jeanne : Vous dites l'épée d'or ? (à part) On dirait que je ne suis pas la seule à la chercher, cette épée. (à Achille) Sais-tu où se trouve cette épée ?
Achille : Oui, mais je ne sais pas vraiment comment faire pour y aller. Ce que je sais, c'est qu'il faut traverser ce lac pour arriver à la colline de l'ange.
Jeanne : Mais je ne sais pas assez bien nager.
Achille : Je te porterai sur mon dos.
Jeanne : Je suis peut-être trop lourde.
Achille : Aies confiance.
Jeanne : D'accord, je monte. Mais tu n'as pas peur qu'on tombe sur des sables mouvants, autour de ce fleuve ? On ne sait jamais...
Achille : Peut-être, mais prenons le risque.
Jeanne : Non !
Achille : Mais alors comment allons-nous traverser ? (A part) Pas très courageuse, cette guerrière...
Jeanne : Contruisons un radeau ! Il n'y a qu'à couper du bois et arracher des feuilles pour les ficeler.
Achille : Allons chercher du bois et des feuilles de palmier ; j'ai mon épée sur moi.
Jeanne : Regardez cet arbre ! Il est parfait pour notre radeau.
Achille : Je vais le couper .
Jeanne : Je vais chercher une brassée de feuilles.

Le narrateur : En très peu de temps, ils construisent un radeau et traversent la rivière.

Achille : Voilà la colline, continuons la recherche.
Jeanne : Allons, montons-la !
Jeanne : Voila l'épée d'or ! Prenons-la vite.
Achille : Attends, la légende dit qu'il y a un serpent qui garde l'épée !
Jeanne : Mais non, regarde ! Il n'y a personne ! Nous sommes seuls sur cette colline.

Le narrateur : Avant qu'elle ait le temps de toucher l'épée, un serpent surgit et s'enroule autour de l'épée. Jeanne pousse un cri.

Jeanne : Ha !
Serpent : Qui a osé me reveiller ? (
il aperçoit Jeanne et Achille). Qui êtes-vous ?
Jeanne se cache derrière Achille.

Achille : Nous sommes venus ici, chercher l'épée d'or que vous gardez précieusement autour de vous.
Serpent : Seul un esprit pur peut prendre cette épée et en géneral je sais quand quelqu'un la mérite.
Jeanne : Mais nous avons vraiment besoin de cette épée.
Serpent : Pourquoi ? Tous les guerriers qui sont venus chercher cette épée sont rentrés très déçus car je n'ai pas succombé.
Jeanne : Mais nous c'est différent ! C'est très important, c'est pour notre peuple que nous devons sauver : moi, je défends les français face aux Anglais.
Achille : Et moi c'est pour défendre mes soldats qui sont épuisés après dix ans de guerre devant les remparts de Troie...
Serpent :Prenez-la dans ce cas. Si c'est pour protéger votre peuple, elle vous revient mais vous devrez vous la prêter : il n'y en a pas d'autre...
Achille : Nous vous remercions.

Le narrateur : Nos deux héros sont alors repartis du jardin d'Eden et depuis, ils continuent de défendre leur peuple, Achille en Grèce et Jeanne d'Arc en France... Mais la suite de leur histoire, vous la connaissez.

Dialogue rédigé par Mandera et Yacine (Bob l'éponge et Maggie Simpson)

Bob l'éponge, Maggie Simpson et un narrateur

Narrateur : Bob vit sous la mer qui elle même se trouve sous un pont. La maison de Bob est faite en fraises et Bob a deux amis : Sandi, l'écureuil, et Patrick, l'étoile de mer. Dans sa maison se trouve une horloge magique qui exauce les vœux quand quelqu'un commence ses phrases par « je veux... ».
Un beau jour d'été, Bob sort de son lit très content de cette nouvelle journée qui commence, puis Bob entend des cris par sa fenêtre en fraise. Il court, court très vite pour voir ce qu'il se passe, et il découvre une petite ombre de bébé.

Bob : Oh petite, que fais-tu là ? Comment t'appelles- tu ? Qu'est-ce que tu fais là toute seule ?
Maggie : Je me suis perdue ! Mon papa était là-bas et il est parti sans moi. J'ai peur.
Bob : Entre ! Comment t'appelles-tu ?
Maggie : Je m'appelle Maggie Simpson.
Bob : D accord. As-tu faim ?
Maggie : Oui je voudrais du chocolat, du pop corn, des fraises et ma tétine rouge.

Narrateur : Bob va chercher ce que Maggie veut et lui donne des fraises de sa maison .

Bob : Oh il est neuf heures ! je dois aller m'habiller et donner à manger à Gari, mon escargot.
Maggie (s'endormant) : zzzzzzzz ...
Bob : Dors bien, petit bébé.

Narrateur : Trois heures plus tard.

Maggie : Ah ! ah ! Où es-tu, monsieur l'éponge ? J'ai peur ! Je veux que mon papa revienne ! Je veux rentrer chez moi !
Bob : Je suis là ! Je suis là !

Narrateur : A ce moment précis comme Maggie avait dit « je veux », la maison bouge car l'horloge magique va exaucer son vœu.

Maggie : L'éponge ! L'éponge ! Ça bouge ! Ça bouge ! J'ai peur ! J' ai peur !
Bob : Oui moi aussi j'ai peur, mais ne t'inquiète pas, je suis là, près de toi.

Narrateur : Maggie ferme ses yeux de peur, et quand elle les rouvre, elle se trouve dans sa poussette avec son papa Homer.

Maggie : Papa ! Papa ! Tu es revenu me chercher ! On peut aller voir mon copain l'éponge ?
Homer : Ouais ouais...

Narrateur : En fait tout ça était un rêve de Maggie.

Bruit de tétine de Maggie super contente.

Dialogue rédigé par Lucie, Johan & Mickael (Jeanne d'Arc et Zinedine ZIDANE)

Jeanne d'Arc et Zinedine Zidane, au pôle nord.

Jeanne d'Arc : Bonjour monsieur, je suis Jeanne d'Arc. Bienvenu dans mon royaume. J'espère que vous n'êtes pas anglais...
Zinedine Zidane : Bonjour, mais vous êtes qui ? Je crois avoir mal compris... On me fait une blague ou vous êtes l'esprit de la célèbre Jeanne d'Arc ?
Jeanne d'Arc : Pardon ? Vous avez dit que je suis quoi ?
Zinedine Zidane : Oui ! Vous êtes un fantôme ! Ah ah ah ah ah ah ah ah !
(il part en courant)
Jeanne d'Arc : Attendez !
Zinedine Zidane : D'accord... Je vais canaliser ma peur... Comment êtes-vous arrivée ici ? Brrrr...
Jeanne d'Arc : Après ma mort, j'ai vu une lumière et je me suis retrouvée ici. Et vous ?
Zinedine Zidane : Je suis arrivé ici car mon avion s'est craché ! Brrrr...
Jeanne d'Arc : Vous avez froid ?
Zinedine Zidane : Oui que pensez-vous, que j'ai chaud ?!
Jeanne d'Arc : Vous n'avez pas de peau de mouton pour vous couvrir ?
Zinedine Zidane : Non, mais un short et une chemise.
Jeanne d'Arc : C'est quoi un short et une chemise ?
Zinedine Zidane : Rien, laissez tomber, mais vous, vous n'avez pas froid ?
Jeanne d'Arc : Moi non ! Mais je voudrais bien retourner en France.
Zinedine Zidane : Moi aussi mais comment ? En iceberg ou de préférence en bateau ?
Jeanne d'Arc : Comme vous vous voulez, mais un iceberg c'est bien car je ne vois aucun bateau.
Zinedine Zidane : Mais l'iceberg fondra avant notre arrivée en France !
Jeanne d'Arc : Oui mais d'ici là on aura trouvé quelqu'un avec un bateau et il nous fera monter à bord.
Zinedine Zidane : C'est vrai ! C'est pas bête ! France, nous voilà ! Allons chercher un iceberg.
Jeanne d'Arc : D'accord !
Zinedine Zidane : Qu'est-ce qu'il fait froid au Pôle Nord ! Oh ! Mais c'est une doudoune, sans doute tombée de l'avion... Je vais la mettre.
Jeanne d'Arc : Monsieur j'ai trouvé un iceberg ! Regardez ! Là-bas !
Zinedine Zidane : Oui mais l'iceberg est trop loin, nous ne pourrons pas l'approcher sans être gelés par l'eau ! Il ne nous reste plus qu'à couper un morceau de la banquise avec votre épée.
Jeanne d'Arc : Très bonne idée ! Grâce à ça, nous allons pouvoir rentrer ! Mais au faite vous êtes ?
Zinedine Zidane : Je suis Zinedine Zidane.
Jeanne d'Arc : D'accord.
Zinedine Zidane : Vous n'êtes pas surpris ?
Jeanne d'Arc : Non pour quoi ?
Zinedine Zidane : Je suis un célèbre footballeur.
Jeanne d'Arc : Je vous rappelle que je viens du 15ème siècle ! J'ai fini de couper la banquise.
Zinedine Zidane : D'accord ! J'arrive.

Les deux personnages embarquent sur leur morceau de banquise. Jeanne rame avec son épée...

Jeanne d'arc : Mais vous allez manger quoi ?
Zinedine Zidane : Il faudra que je me contente de boire, comme vous...
Jeanne d'Arc : Et où avez vous trouvé ce vêtement étrange ?
Zinedine Zidane : Sur la banquise, mais malheureusement j'ai très froid aux jambes.
Jeanne d'Arc : Je ne peux rien pour vous, mon pauvre ami !
Zinedine Zidane : C'est pas grave ! Vous savez jouer au football ?
Jeanne d'Arc : Non c'est quoi ?
Zinedine Zidane : Un jeu d'équipe !
Jeanne d'Arc : Et en quoi ça concerne notre retour en France ?
Zinedine Zidane : En rien, c'est juste pour la conversation ! Est-que vous aimez voir la télévision ?
Jeanne d'Arc : C'est quoi la télévision ?
Zinedine Zidane : Mais vous vivez à quel siècle ? On est quand même au 21e siècle !
Jeanne d'Arc : Vous voulez dire au 15e siècle ?
Zinedine Zidane : Non, non... On est bien au 21e siècle.
Jeanne d'Arc : Mais je vous ai dit que j'étais du 15e siècle ! Ca voudrait dire que la lumière m'a conduite dans le futur ?
Zinedine Zidane : Sûrement ! Et ça voudrait dire aussi que la lumière est en fait un portail.
Jeanne d'Arc : Je n'en crois pas mes oreilles ! Ca voudrait dire que le portail m'a emmenée six siècle plus tard !
Zinedine Zidane : A notre arrivée en France je vous apprendrai à jouer au football.
Jeanne d'Arc : Désolée, mais ça ne me tente pas.
Zinedine Zidane : Alors on ira au zoo ?
Jeanne d'Arc : C'est quoi un zoo ?
Zindenine Zidane : C'est un lieu où se trouvent des animaux en cage ; donc vous voudrez bien y aller.
Jeanne d'Arc : Non désolée, voir des animaux en cage, ça me blesse le cœur !
Zinedine Zidane : D'accord, alors... au cinéma ?
Jeanne d'Arc : C'est quoi un cinéma ?
Zinedine Zidane : C'est rien !
Jeanne d'Arc : Devant nous ! un bateau abandonné !
Zinedine Zidane : Allons y !
Jeanne d'Arc : La coque est abimée ! Vous pouvez la réparer ?
Zinedine Zidane : Oui je vais essayer avec les outils que je trouverai sûrement sur le pont.

Quarante-cinq minutes plus tard

Jeanne d'Arc : C'est bon ? Vous avez fini ?
Zinedine Zidane : Oui mais je ne sais pas comment on le dirige !
Jeanne d'Arc : Moi oui ! C'est parti !
Zinedine Zidane : Voici une carte !
Jeanne d'Arc : Merci beaucoup ! A mon avis, on arrivera en France dans trois jours.
Zinedine Zidane : Très bien, bonne nuit.

Trois jours plus tard

Jeanne d'Arc : C'est bon, on ne devrait plus être loin des côtes françaises !
Zinedine Zidane : Parfait !
Jeanne d'Arc : Je vois une lumière !
Zinedine Zidane : Quel genre de lumière ?
Jeanne d'Arc : La même qui m'a fait venir sur la banquise.
Zinedine Zidane : Ça voudrait dire que l'on ne se reverra plus ?
Jeanne d'Arc : Je crains que non, mon ami ! Adieu !
Zinedine Zidane : Adieu j'ai été ravi de vous rencontrer !
Jeanne d'Arc : Moi de même !

Dialogue rédigé par Dounia et Elyes (Harry Potter et C. J.)

C. J., Harry Potter et un caissier

C. J. rentre dans une pizzeria pour commander une pizza.

C. J. : Salut, caissier tu peux me passer une pizza gratuite ?
Le caissier : Non, on ne donne pas de pizza gratuite ici.
C. J. : Arrête de m'énerver, avant que je te tue !
Le caissier : Bon, prenez votre pizza et plus de grabuge, sinon, j'appelle les flics. (à part) Une pizza vieille d'une semaine... Bon appêtit, espèce d'idiot...
C. J. : Merci pour la pizza gratuit et sois cool mec.

CJ va s'assoir pour manger sa pizza. Harry Potter fait son apparition sur son balai de sorcier et rentre dans la pizzéria.

Harry Potter (au caissier) : Monsieur, s'il vous plait, est-ce qu'il y a encore des pizzas au thon ?
Le caissier : Désolé monsieur, il n'y a plus de pizza au thon.
C. J. (à Harry Potter) : Hé, petit garçon, si tu veux, tu peux manger avec moi car la pizza est trop grosse pour moi.
Harry Potter: D'accord, comme tu veux.

Harry Potter s'assied à la table de C. J. et commence à manger de la pizza mais il n'arrive pas à la couper...

C. J. : comment tu t'appelles, jeune homme ?
Harry Potter : Je m'appelle Harry Potter et je suis un magicien, et toi ?
C. J. : Je m'appelle Carl Johnson et mes potes m'appellent C. J. Je suis un gangster. Est-ce que je peux t'appeller Hardy Botter ? C'est plus drôle...
Harry Potter: Si tu veux C. J.
C. J. : Beurk ! Elle est dégueulasse, cette pizza ! Elle est vraiment immangeable tellement elle est dure !
Harry Potter : Hé, qu'est-ce que t'as C. J. ?
C. J. : On m'as pris pour une bête !
Harry Potter : Viens, on va voir la personne qui t'a donné cette pizza.

Harry Potter et C. J. vont voir le caissier.

Le cassier : Qu'est-ce que vous voulez manger monsieur ?
C. J. (avec culot) : Redonne moi mon argent, sinon je vais te tuer.
Harry Potter : Arrête, tu vas avoir des problèmes...
C. J. : Non,je n'arrête pas s'il ne me donne pas mon argent !
Harry Potter : Mais CJ, qu'est-ce que tu fais ?
C. J. : Oh ! Merde je viens d'assommer le caissier avec cette foutue pizza. ! Je vais aller en prison à cause de ce caissier et de sa pizza tellement dure !
Harry Potter : Et ne parlons pas de moi, je vais partir en prison pour non assistance à personne en danger.
C. J. : Au revoir, à la prochaine Hardy Botter. Je file !
Harry Potter : Je te laisse aussi, mon ami, et quand je rentrerai dans une pizzeria, je penserai à toi.


Dialogue rédigé par Ali M. (Harry Potter et C. J.)

(Dans une pizzeria)

Harry Potter : Bonjour, je voudrais bien une pizza aux quatre fromages.
Le serveur : Oui, je vous la donne dans dix minutes.
Harry Potter : Merci je vais m'assoir.
C. J. : Bonjour, je voudrais une pizza au fromage.
Le serveur : Désolé, il n'y en a plus. (A Harry) Monsieur, votre pizza.
Harry Potter : Merci ! (
à C. J.) Voulez-vous manger avec moi ?
C. J. : Oui, merci, parce que j'ai la dalle..
Harry Potter : Assis-toi. Moi, je m'appelle Harry Potter, et toi ?
C. J. : Bonjour Harry Potter, moi je m'appelle C. J.
Harry Potter : Qu'est-ce que tu fais dans la vie ?
C. J. : Je suis un gangster, et toi ?
Harry Potter : Je suis un sorcier.
C. J. : Oh, c'est bien les sorciers. C'est trop bon, cette pizza. Merci encore.
Harry Potter : Oh, de rien.
C. J. : Bon, on y go ?
Harry Potter : Allez.
C. J. : On se rejoint à Springfield ?
Harry Potter : Allez moi je vais sur mon balai et toi en avion.
C. J. : Vas-y, à tout à l'heure.

(Dans les airs, au dessus de Springfield)

C. J. : Il faut que je l'appelle. (il prend son téléphone et appelle)
Harry Potter : Allo ? Oui ? C'est qui ?
C. J. : C'est moi, CJ. Tu es où là ?
Harry Potter : Je suis déjà arrivé, et toi ?
C. J. : Moi aussi, tu ne vois pas mon avion ?
Harry Potter : Si ! Je te retrouve au sol.

(Sur la piste de l'aéroport de Springfield)

C. J. : Il s'est bien passé le vol ?
Harry Potter : Oui, et toi ?
C. J. : Oui, tu vas où là ?
Harry Potter : Je vais chez Moe. Tu veux venir avec moi ?
C. J. : oui, merci.
Harry Potter : allez, viens, suis-moi.
C. J. : Il y a de quoi à boire ici ?
Harry Potter : il y a de la defe et du jus de citroulle, alors tu veux quoi ?
C. J. : De la defe. Et toi, tu vas prendre quoi ?
Harry Potter : Un jus de citroulle.
C. J. : Oh, c'est bon la defe ! Tous les jours je viendrai ici maintenant.
Harry Potter : je dois rentrer chez moi. Il commence à faire nuit.
C. J. : Moi aussi.
Harry Potter : Allez, au revoir.
C. J. : Au revoir.