mercredi 9 février 2011

Dialogue rédigé par Yannis, Luc & Rayan (Achille & C. J.)

C. J., Achille et le narrateur

Le narrateur : Sur une énorme planète vert où tout est différent, Achille et C. J. se retrouvent dans une forêt sombre peuplée d'animaux inconnus sur terre.

Achille : Quel est ce bruit, où suis-je ?

Le narrateur : Achille entend des coup de feux, il décide de se cacher derrière un buisson car il n'a jamais entendu ce bruit de détonnation.

C. J. : Ha ha ha ha ha, vous ne faites pas le poids contre moi !

C. J. voit un buisson bouger et tire dessus mais Achille décide de sortir et de lever les mains.

C. J. : Qui es-tu ?
Achille : Je m'appelle Achille et toi comment t'appelles-tu ?
C. J. : je m'appelle C.J. Que fais-tu ici ?
Achille : Je ne sais pas ! Et toi, que fais-tu ici ?
C. J. : je chasse et je m'entraîne en même temps. As-tu faim ?
Achille : Oui j'ai faim.

Le narrateur : C. J. voit un sanglier, l'abat et le mange. Il en propose quelques morceaux à Achille.

Achille : Qu'est-ce que c'est bon ! J'en reprendrais avec plaisir.
C. J. : As-tu un endroit où dormir ?
Achille : Non, je t'ai dit que je venais d'arriver.
C. J. : Comment vas-tu faire alors ?
Achille : Je ne sais pas !
C. J. : je connais un endroit où dormir !
Achille : Où ?
C. J. : Dans ma grotte.
Achille : Ok.

Le narrateur : Le soir venu, C.J fait un feu pour se réchauffer. Achille, qui s'était endormi, se réveille et aperçoit les plans de C.J.

Achille : Que fais-tu avec ces plans ?
C. J. : Je veux tuer le roi de cette planète !
Achille : Pourquoi ?
C. J. : Car il a tué ma famille !
Achille : Je t'aiderai à tuer le roi.
C. J. : Non, c'est trop dangereux.
Achille : Ne t'inquiète pas pour moi, je ne risque rien car je suis un demi-dieu.
C. J. : Prouve-le moi !
Achille : Je te montrerai mon pouvoir !
C. J. : Et quel est ton pouvoir ?

Le narrateur : Alors Achille montra son pouvoir à C. J. : il pouvait invoquer et faire apparaître des monstres effrayants.

C. J. : Waouw, impressionnant ce pouvoir ! Nous partirons à l'aube, en attendant, révisons notre plan !
Achille : D'accord !

Le narrateur : Le jour se lève. Il est temps de partir pour C. J. et Achille.

C. J. : partons !

Note de M. CRUZEL : texte inachevé.

Dialogue rédigé par Sophie & Jennifer (C. J. et les Simpsons)

C. J., Moe, Homer, Lisa, Bart, Marge et le narrateur:

C. J. : Bonjour, est-ce que je pourais avoir une bière s'il vous plaît ?
Moe : Oui ça sera un dollar.
C. J. : Tiens, un dollar.
Moe : Tiens, ta bière.
Homer : C'est qui ce mec ? Je l'ai jamais vu.
C. J. : Ah ! c'est toi, Homer ! Celui qui passe à la télé avec son gros ventre ?
Homer : De quoi tu parles ?
Moe : Au fait, qu'est-ce que tu fais à Springfield ?
C. J. : J'ai oublié de vous dire que je viens de loin, de Los Angeles.
Homer : Alors tu vas dormir chez qui ?
C. J. : Je ne sais pas.
Homer : Tu sais, si tu descends dans un hôtel, tu devras payer 100 dollars, alors viens plutôt dormir chez moi.
C. J. : D'accord.

Le narrateur : C. J. arrive quelques minutes plus tard chez Homer, où tout le monde est occupé dans le salon...

C. J. : Bonjour Lisa, ça va comme tu veux ?
Lisa : Mais laisse moi ! Je joue du saxophone ! Comment tu connais mon prénom, d'abord ?
C. J : Ah! ah! ah! je te regarde tous les soirs sur W9 et vous êtes trop marrants, ta famille et toi !
Homer : Tu dormiras dans la chambre de Bart .
C. J : D'accord.
Bart : C'est qui lui ? Toi, papa, tu es d'accord pour qu'il dorme dans ma chambre, mais pas moi.
Marge : Bart, sois gentil avec les autres.
C. J. : Tu sais, Bart, moi non plus, quand j'étais petit, je ne voulais pas partarger ma chambre.
Bart : Alors raison de plus ! Pourquoi je partagerais la mienne ? Il ne dormira pas dans ma chambre !
C. J. : On peut regarder W9 ?
Homer : C'est quoi cette chaîne ? On a plusieurs chaînes mais je ne les connais pas toutes.
C. J. : Ah bon ?
Homer : Oui !
C. J. : Tu sais Homer, vos nouveaux épisodes sont supers !
Homer : Quels nouveaux épisodes ?
C. J. : Eh bien, ceux où tu as rencontré Duff Man.
Homer : Comment tu sais?
C. J. : J'ai dit que je t'avais vu, à la télé.
Homer : Quoi ? Moi ? je passe à la télé ?

Le narrateur : C. J. allume la télévision et Homer s'y voit...

Homer : Alors je serais un héros ?


Dialogue rédigé par Sledge, Ali S. & Djiby (Marge Simpson, Zinedine & Homer)

Marge Simpson, Zinédine Zidane, Homer, et un narrateur

Le narrateur : Marge et Zinédine Zidane se rencontrent sur la planète de la pendule. Cet endroit est rempli de pendules avec lesquelles on peut arrêter le temps, mais aussi voyager dans l'espace en quelques secondes. Les bâtiments sont en pendules, en horloges et en montres. Le temps est indiqué partout. Ils se rencontrent le soir quand Zinedine Zidane rentre chez lui, dans la tour de la pendule blanche, sur le palier.

Marge : Mais vous ressemblez à Zinedine Zidane.
Zidane : Mais je ne lui ressemble pas, c'est moi.
Marge : Wah !
Zidane : Voulez-vous prendre un verre chez moi ?
Marge : Oh oui avec plaisir.

Le narrateur : Dans la maison de Zidane, autour d'un verre.

Marge : Avez-vous une compagne ?
Zidane : Non, malheureusement.
Zidane : Et vous ?
Marge : Oui mais on est sur le point de divorcer.
Zidane : Je ne comprends vraiment pas votre mari. Comment fait-il pour s'embrouiller avec une fille comme vous ?
Marge : Ah ce sont les épreuves de la vie...
Zidane : Vous êtes vraiment très ravissante.
Marge : Oh merci, merci. D'ailleurs, vous aussi.
Zidane : Oui merci, on me l'a souvent dit. Vous avez de jolis cheveux bleus. C'est une teinture ?
Marge : Heu non... C'est de naissance. Voulez-vous mon numéro de téléphone ?
Zidane : Oui bien-sûr.
Marge : 10 H. 01 90 027.
Zidane : D'accord, merci.
Marge : Bon monsieur Zidane. Je dois partir.
Zidane : Vous pouvez m'appeler Zinedine.
Marge : D'accord, bon Zinedine, je dois y aller.
Zidane : Au revoir.

Le narrateur : Marge rentre chez elle, lorsque Homer surgit.

Homer : Où étais-tu passé ?
Marge : Ca ne te regarde pas !
Homer : Si, je dois le savoir !
Marge : Horrrrrh !
Homer : Si je t'énerve, tu me le dis. Puisque c'est comme ça, je vais me coucher.

Narrateur : Lorsque Homer est bien endormi, Marge revient et se glisse dans le lit. Le lendemain matin, Marge se réveille de bonne heure, tandis que Homer dort jusqu' à 14 heures. Il se réveille, étonné. Quand il sort de sa chambre, il découvre Marge toute habillée.

Homer : Où vas-tu ?
Marge : Heu... Au theâtre.
Homer : Habillée comme ça ?
Marge : Oui. Il faut se faire belle pour cette grande occasion. Au revoir.

Narrateur : Aussitôt Marge part au restaurant de la Pendule grâce à sa montre magique. De son côté, Homer veut la suivre mais n'a pas de montre aussi efficace que celle de Marge... Il se cacha derrière les aiguilles de son réveil et suit Marge d'assez loin... Elle arrive dans un restaurant, elle retrouve Zinedine qui lui offre un bouquet de fleurs, puis elle s'assoit.

Homer : J'en étais sûr ! Elle m'a bien menti.

Narrateur : Il se font la bise, et passent leur commande. Marge prend un cocktail de midi , une horloge sautée de 23h33. Zinedine prend un jus de raisin aiguillé et prend aussi une horloge sautée de 23h55.

Le Serveur : Ça sera tout ?
Zinedine : Oui oui merci.

Narrateur : On les sert. Ils trinquent. Zinedine sort du bouquet une bague de fiançaille et ils sont sur le point de se faire un baiser sur la bouche. Homer, fou de rage, intervient.

Homer : Ha Ha ... Marge ! tu me déçois ! Et d'où vient cette bague ?
Zinedine
(se levant) : C ' est moi qui la lui ai offerte pour preuve d'amour
Marge : Désolée Homer, mais je te demande le divorce.
Homer : Ah ? tu le veux ? Beh tu l'auras !

Le narrateur : Deux ans plus tard ... Zinedine et Marge se marient, et ont beaucoup d'enfants footballeurs et deux filles aux cheveux bleus.


Dialogue rédigé par Sariaka, Badroudine & Nour (Homer, Harry Potter & Christophe Colomb)

Homer, Christophe Colomb, Harry potter, Marge.

Harry Potter et Homer sont dans un bar. Ils boivent une bière puis Homer s'assoit sur la baguette magique d'Harry .

Harry Potter : Eh ! Tu es assis sur ma baguette !
Homer : Désolé, je l'ai pas vu. Pourquoi as-tu un bâton ?
Harry Potter : Ce n'est pas un bâton mais c'est une baguette magique.
Homer : Une baguette magique ? Mais ça n'existe pas la magie !
Harry Potter : Si ! La magie ça existe !

(Puis Harry Potter fait une démonstration de magie à Homer sur les verres de bière)

Homer : C'est super ! Il a transformé des verres de bières en tarte à la myrtille !
Harry Potter : Alors tu me crois maintenant ?
Homer : Oui, j'adore ! Eh Op ! Un coup de magie d'Homer Simpson !

(Homer vole la baguette d'Harry Potter)

Harry potter : Pourquoi as-tu volé ma baguette ?
Homer : Car je voulais avoir le pouvoir absolu.
Harry Potter : Mais tu sais même pas t'en servir.
Homer : T'en fais pas pour moi : je vais apprendre.
Harry Potter : Comment ?
Homer : A la bibliothèque, il y a des livres de magie.
Harry Potter : Moi, je n'en crois pas un mot !
Homer : Si ça existe !
Harry Potter : Essaie d'en trouver alors ! Mais maintenant rends-moi ma baguette !
Homer : Non !
Harry Potter : Tant pis pour toi ! Je vais t'envoyer dans l'espace.
Homer : Non !
Harry Potter : Hélas ! Pour les gens qui ne veulent pas me croire...

Dans l'espace.

Christophe Colomb : qui es-tu ? Qu'est-ce que tu fais là ?
Homer : Bonjour monsieur ! Je m'appelle Homer et euhh ! Un certain Harry Potter m'a jeté un mauvais sort, dirait-on ! Et je suis ici, dans l'espace. Et toi qui es-tu ?
Christophe Colomb : Je m'appelle Christophe Colomb et je vis dans l'espace.
Homer : tu sais comment faire fonctionner cette baguette ?
Christophe Colomb : Une baguette ?
Homer : Oui !
Christophe Colomb : La magie est interdite sur ma planète.
Homer : Elle est interdite ?
Christophe Colomb : Fais gaffe, les magiciens ne sont pas les bienvenus ici.
Homer : Dis-moi au moins comment tu fais pour vivre ici.
Christophe Colomb : Écoute alors ! Il était une fois un couple de magiciens qui voulait vraiment avoir un enfant. Ils ont conclu un pacte avec le diable pour avoir un petit garçon. Mais à sa naissance, le diable a voulu prendre le petit garçon. Pour protéger l'enfant, ses parents l'ont caché dans l'espace. Une histoire vieille de six cent ans, comme mon âge.
Homer : Ah oui, j'ai bien compris : l'enfant, c'est toi alors ?
Christophe Colomb : Eh oui, en un peu plus vieux bien sûr... Entre temps, mes parents se sont jurés de ne plus procéder à la magie. Et moi aussi, sur leur tombeau.
Homer : Mais il s'agit ici d'une situation exceptionnelle, tu comprends, je l'espère d'ailleurs ! Accorde moi une faveur, je veux retourner sur la Terre, et boire de la bière.
Christophe Colomb : Hélas mon garçon ! Je ne peux rien faire pour toi !
Homer : Et pourtant tes parents étaient magiciens !
Christophe Colomb : Justement pour rompre le pacte avec le diable, mes parents ont été obligés de quitter la terre et de se débarrasser de tout pouvoir magique. Si je tente d'en utiliser, le diable pourra me retrouver.
Homer : Alors ! Ne me dis pas que je reste ici ?
Christophe Colomb : Désolé ! Tu vas vivre ici éternellement comme moi !
Homer : Non ! Ici c'est un désert, sans voiture, sans magasin, sans femme, sans enfant, sans bière ! Je veux rentrer.
Christophe Colomb : Pourtant on aurait dit que tu ne voulais plus voir tes enfants, ta femme, la vie sur terre. Et c'est pour cela que
tu as volé la baguette d'Harry Potter et que tu voulais l'utiliser, pour que ton monde change à ton gré. Hélas pour toi, tu ne reverras plus la Terre.
Homer : Non ! Christophe, je veux y retourner. Tu m'as entendu, y retourner ! Non ! Non ! Et non ! J'aime bien ma vie de Terrien !

Sur terre, chez les Simpsons, dans le salon où Homer dort...

Marge : Chéri, t'as fait un cauchemar ? Tu t'es endormi en regardant le film d'Harry Potter... Et n'oublie pas d'éteindre la télé et de ranger ce DVD « la Découverte de l'Amérique » !

Dialogue rédigé par Samba, Nicolas, Clivens (Jeanne d'Arc, Zidane, Chopper...)

Zidane, Jeanne d'Arc, Choper, le Proviseur, des soldats anglais, un narrateur

Le narrateur : Au 15e siècle, Jeanne d'Arc est pourchassée par des Anglais. Elle trouve une porte, l' ouvre et se retrouve dans un collège dans une classe de 3ème, en plein 20e siècle.
C'est le jour de la rentrée pour les 3ème1. Dans cette classe de 3e, les bavards sont Zidane et Jeanne d'Arc... qui se demande où elle se trouve.
Le professeur les surprend en train de bavarder. Alors il demande à un autre élève célèbre, Chopper, de les amener chez le proviseur mais il n' y a personne.

Ils ouvrent la porte du bureau du proviseur.

Zidane : Où est le proviseur ?
Jeanne d'Arc : Je n'en sais rien.
Chopper : C'est bizarre.
Zidane : Sortons d' ici.

Clac !!! la porte se referme

Chopper : Je commence à avoir peur.
Zidane : Sortons par la fenêtre.
Jeanne d'Arc : Il a raison ! Essayons.

Brac la fenêtre claque.

Zidane : Il faut rester calme, il ne faut pas s' inquiéter.
Jeanne d'Arc : Je suis sûre que c'est encore un coup des Anglais, ils ont dû passer avec moi par la porte quand je l'ai traversée.
Zidane : Qui sont les Anglais ?
Jeanne d'Arc : Ce sont des personnes qui nous traitent comme des esclaves.
Chopper : J'ai un mauvais pressentiment...
Zidane : Bon essayons de trouver une sortie.
Jeanne d' Arc : Oui tu as raison.

Le narrateur : Zidane essaie de casser les carreaux de la fenêtre avec son ballon mais il ne réussit pas. Chopper et Jeanne d' arc essayent d'enfoncer la porte mais ils n'y arrivent pas. Alors Zidane se joint à eux et la porte cède.

Zidane : On a réussi !
Jeanne d'Arc : Oui !
Chopper : C'est super !
Jeanne d'Arc : Bon maintenant, cherchons le proviseur !
Chopper et Zidane : Oui.

Arrivée des anglais dans le couloir.

Jeanne d' Arc : Oh non ! j'en étais sûre, des Anglais !
Zidane : Ils ressemblent à ça les Anglais ? C'est bizarre leur maillot de foot...
Chopper : Moi j'ai trop peur !
Zidane : On va tous les combattre.
Jeanne d'Arc : D'accord.
Chopper : Je suis d'accord.

Et ils s'affrontent.

Chopper : Oui ! On les a battus.
Zidane : J'ai trouvé une lettre !
Jeanne d'Arc : Montre-la moi.
(Elle lit la lettre) Chers enfants, des Anglais m' ont kidnappé et m' ont agressé. S' il vous plaît, venez me délivrer, je suis au C...
Zidane : Il n' a pas terminé sa phrase...
Jeanne d'Arc : Il doit être dans un endroit dont le nom commence par C...
Zidane et Chopper : Le C. D. I. !
Chopper : Vite ! Dépêchons nous !

Au CDI

Voix d'Anglais : Vous arrivez trop tard. You're too late !
Jeanne d'Arc : Qui êtes-vous ?
Voix d'Anglais : Nous sommes l'armée anglaise.
Zidane : Relâchez le proviseur !
(A Jeanne) Occupe-toi des gardes Jeanne d' Arc, et moi je m'occupe de délivrer le proviseur.
Jeanne d'Arc : Tu peux compter sur moi.

Ils attaquent les Anglais, et ils retrouvent le proviseur ligoté dans le C.D.I.

Jeanne d' Arc : Vous allez bien monsieur ?
Le Proviseur : Oui ça va !
Zidane : Tout est bien qui finit bien !
Chopper : ça tu l'as dit !

Dialogue rédigé par Pampy, Dayana & Morgane (Jeanne d'Arc, Achille et le Serpent)

Achille, Jeanne D'arc, le serpent et le narrateur

Le narrateur : Achille et Jeanne d'Arc se rencontrent dans le jardin d'Eden, là où il n'y a pas de honte à être dénudé, là où il y a l'arbre de la connaissance et celui qui nous rend immortels, l'arbre de la vie éternelle, là où il n' y a pas de guerre, où on ne mange pas de nourriture animale, où on peut entendre les bruits des oiseaux qui chantent. Nous sommes en été, le matin, au temps d'Adam et Eve.
De loin chacun des deux personnages aperçoit une ombre se diriger vers lui. Tous les deux sont surpris de se retrouver avec un inconnu dans le jardin d'Eden.

Jeanne : Qui êtes vous ?
Achille : Achille de Grèce, et vous ?
Jeanne : Je m'appelle Jeanne d'Arc, de Lorraine, en France. Je suis une guerrière. Que venez vous faire ici ?
Achille : Je suis venu ici pour chercher l'épée d'or, perdue il y a des siècles .
Jeanne : Vous dites l'épée d'or ? (à part) On dirait que je ne suis pas la seule à la chercher, cette épée. (à Achille) Sais-tu où se trouve cette épée ?
Achille : Oui, mais je ne sais pas vraiment comment faire pour y aller. Ce que je sais, c'est qu'il faut traverser ce lac pour arriver à la colline de l'ange.
Jeanne : Mais je ne sais pas assez bien nager.
Achille : Je te porterai sur mon dos.
Jeanne : Je suis peut-être trop lourde.
Achille : Aies confiance.
Jeanne : D'accord, je monte. Mais tu n'as pas peur qu'on tombe sur des sables mouvants, autour de ce fleuve ? On ne sait jamais...
Achille : Peut-être, mais prenons le risque.
Jeanne : Non !
Achille : Mais alors comment allons-nous traverser ? (A part) Pas très courageuse, cette guerrière...
Jeanne : Contruisons un radeau ! Il n'y a qu'à couper du bois et arracher des feuilles pour les ficeler.
Achille : Allons chercher du bois et des feuilles de palmier ; j'ai mon épée sur moi.
Jeanne : Regardez cet arbre ! Il est parfait pour notre radeau.
Achille : Je vais le couper .
Jeanne : Je vais chercher une brassée de feuilles.

Le narrateur : En très peu de temps, ils construisent un radeau et traversent la rivière.

Achille : Voilà la colline, continuons la recherche.
Jeanne : Allons, montons-la !
Jeanne : Voila l'épée d'or ! Prenons-la vite.
Achille : Attends, la légende dit qu'il y a un serpent qui garde l'épée !
Jeanne : Mais non, regarde ! Il n'y a personne ! Nous sommes seuls sur cette colline.

Le narrateur : Avant qu'elle ait le temps de toucher l'épée, un serpent surgit et s'enroule autour de l'épée. Jeanne pousse un cri.

Jeanne : Ha !
Serpent : Qui a osé me reveiller ? (
il aperçoit Jeanne et Achille). Qui êtes-vous ?
Jeanne se cache derrière Achille.

Achille : Nous sommes venus ici, chercher l'épée d'or que vous gardez précieusement autour de vous.
Serpent : Seul un esprit pur peut prendre cette épée et en géneral je sais quand quelqu'un la mérite.
Jeanne : Mais nous avons vraiment besoin de cette épée.
Serpent : Pourquoi ? Tous les guerriers qui sont venus chercher cette épée sont rentrés très déçus car je n'ai pas succombé.
Jeanne : Mais nous c'est différent ! C'est très important, c'est pour notre peuple que nous devons sauver : moi, je défends les français face aux Anglais.
Achille : Et moi c'est pour défendre mes soldats qui sont épuisés après dix ans de guerre devant les remparts de Troie...
Serpent :Prenez-la dans ce cas. Si c'est pour protéger votre peuple, elle vous revient mais vous devrez vous la prêter : il n'y en a pas d'autre...
Achille : Nous vous remercions.

Le narrateur : Nos deux héros sont alors repartis du jardin d'Eden et depuis, ils continuent de défendre leur peuple, Achille en Grèce et Jeanne d'Arc en France... Mais la suite de leur histoire, vous la connaissez.

Dialogue rédigé par Mandera et Yacine (Bob l'éponge et Maggie Simpson)

Bob l'éponge, Maggie Simpson et un narrateur

Narrateur : Bob vit sous la mer qui elle même se trouve sous un pont. La maison de Bob est faite en fraises et Bob a deux amis : Sandi, l'écureuil, et Patrick, l'étoile de mer. Dans sa maison se trouve une horloge magique qui exauce les vœux quand quelqu'un commence ses phrases par « je veux... ».
Un beau jour d'été, Bob sort de son lit très content de cette nouvelle journée qui commence, puis Bob entend des cris par sa fenêtre en fraise. Il court, court très vite pour voir ce qu'il se passe, et il découvre une petite ombre de bébé.

Bob : Oh petite, que fais-tu là ? Comment t'appelles- tu ? Qu'est-ce que tu fais là toute seule ?
Maggie : Je me suis perdue ! Mon papa était là-bas et il est parti sans moi. J'ai peur.
Bob : Entre ! Comment t'appelles-tu ?
Maggie : Je m'appelle Maggie Simpson.
Bob : D accord. As-tu faim ?
Maggie : Oui je voudrais du chocolat, du pop corn, des fraises et ma tétine rouge.

Narrateur : Bob va chercher ce que Maggie veut et lui donne des fraises de sa maison .

Bob : Oh il est neuf heures ! je dois aller m'habiller et donner à manger à Gari, mon escargot.
Maggie (s'endormant) : zzzzzzzz ...
Bob : Dors bien, petit bébé.

Narrateur : Trois heures plus tard.

Maggie : Ah ! ah ! Où es-tu, monsieur l'éponge ? J'ai peur ! Je veux que mon papa revienne ! Je veux rentrer chez moi !
Bob : Je suis là ! Je suis là !

Narrateur : A ce moment précis comme Maggie avait dit « je veux », la maison bouge car l'horloge magique va exaucer son vœu.

Maggie : L'éponge ! L'éponge ! Ça bouge ! Ça bouge ! J'ai peur ! J' ai peur !
Bob : Oui moi aussi j'ai peur, mais ne t'inquiète pas, je suis là, près de toi.

Narrateur : Maggie ferme ses yeux de peur, et quand elle les rouvre, elle se trouve dans sa poussette avec son papa Homer.

Maggie : Papa ! Papa ! Tu es revenu me chercher ! On peut aller voir mon copain l'éponge ?
Homer : Ouais ouais...

Narrateur : En fait tout ça était un rêve de Maggie.

Bruit de tétine de Maggie super contente.

Dialogue rédigé par Lucie, Johan & Mickael (Jeanne d'Arc et Zinedine ZIDANE)

Jeanne d'Arc et Zinedine Zidane, au pôle nord.

Jeanne d'Arc : Bonjour monsieur, je suis Jeanne d'Arc. Bienvenu dans mon royaume. J'espère que vous n'êtes pas anglais...
Zinedine Zidane : Bonjour, mais vous êtes qui ? Je crois avoir mal compris... On me fait une blague ou vous êtes l'esprit de la célèbre Jeanne d'Arc ?
Jeanne d'Arc : Pardon ? Vous avez dit que je suis quoi ?
Zinedine Zidane : Oui ! Vous êtes un fantôme ! Ah ah ah ah ah ah ah ah !
(il part en courant)
Jeanne d'Arc : Attendez !
Zinedine Zidane : D'accord... Je vais canaliser ma peur... Comment êtes-vous arrivée ici ? Brrrr...
Jeanne d'Arc : Après ma mort, j'ai vu une lumière et je me suis retrouvée ici. Et vous ?
Zinedine Zidane : Je suis arrivé ici car mon avion s'est craché ! Brrrr...
Jeanne d'Arc : Vous avez froid ?
Zinedine Zidane : Oui que pensez-vous, que j'ai chaud ?!
Jeanne d'Arc : Vous n'avez pas de peau de mouton pour vous couvrir ?
Zinedine Zidane : Non, mais un short et une chemise.
Jeanne d'Arc : C'est quoi un short et une chemise ?
Zinedine Zidane : Rien, laissez tomber, mais vous, vous n'avez pas froid ?
Jeanne d'Arc : Moi non ! Mais je voudrais bien retourner en France.
Zinedine Zidane : Moi aussi mais comment ? En iceberg ou de préférence en bateau ?
Jeanne d'Arc : Comme vous vous voulez, mais un iceberg c'est bien car je ne vois aucun bateau.
Zinedine Zidane : Mais l'iceberg fondra avant notre arrivée en France !
Jeanne d'Arc : Oui mais d'ici là on aura trouvé quelqu'un avec un bateau et il nous fera monter à bord.
Zinedine Zidane : C'est vrai ! C'est pas bête ! France, nous voilà ! Allons chercher un iceberg.
Jeanne d'Arc : D'accord !
Zinedine Zidane : Qu'est-ce qu'il fait froid au Pôle Nord ! Oh ! Mais c'est une doudoune, sans doute tombée de l'avion... Je vais la mettre.
Jeanne d'Arc : Monsieur j'ai trouvé un iceberg ! Regardez ! Là-bas !
Zinedine Zidane : Oui mais l'iceberg est trop loin, nous ne pourrons pas l'approcher sans être gelés par l'eau ! Il ne nous reste plus qu'à couper un morceau de la banquise avec votre épée.
Jeanne d'Arc : Très bonne idée ! Grâce à ça, nous allons pouvoir rentrer ! Mais au faite vous êtes ?
Zinedine Zidane : Je suis Zinedine Zidane.
Jeanne d'Arc : D'accord.
Zinedine Zidane : Vous n'êtes pas surpris ?
Jeanne d'Arc : Non pour quoi ?
Zinedine Zidane : Je suis un célèbre footballeur.
Jeanne d'Arc : Je vous rappelle que je viens du 15ème siècle ! J'ai fini de couper la banquise.
Zinedine Zidane : D'accord ! J'arrive.

Les deux personnages embarquent sur leur morceau de banquise. Jeanne rame avec son épée...

Jeanne d'arc : Mais vous allez manger quoi ?
Zinedine Zidane : Il faudra que je me contente de boire, comme vous...
Jeanne d'Arc : Et où avez vous trouvé ce vêtement étrange ?
Zinedine Zidane : Sur la banquise, mais malheureusement j'ai très froid aux jambes.
Jeanne d'Arc : Je ne peux rien pour vous, mon pauvre ami !
Zinedine Zidane : C'est pas grave ! Vous savez jouer au football ?
Jeanne d'Arc : Non c'est quoi ?
Zinedine Zidane : Un jeu d'équipe !
Jeanne d'Arc : Et en quoi ça concerne notre retour en France ?
Zinedine Zidane : En rien, c'est juste pour la conversation ! Est-que vous aimez voir la télévision ?
Jeanne d'Arc : C'est quoi la télévision ?
Zinedine Zidane : Mais vous vivez à quel siècle ? On est quand même au 21e siècle !
Jeanne d'Arc : Vous voulez dire au 15e siècle ?
Zinedine Zidane : Non, non... On est bien au 21e siècle.
Jeanne d'Arc : Mais je vous ai dit que j'étais du 15e siècle ! Ca voudrait dire que la lumière m'a conduite dans le futur ?
Zinedine Zidane : Sûrement ! Et ça voudrait dire aussi que la lumière est en fait un portail.
Jeanne d'Arc : Je n'en crois pas mes oreilles ! Ca voudrait dire que le portail m'a emmenée six siècle plus tard !
Zinedine Zidane : A notre arrivée en France je vous apprendrai à jouer au football.
Jeanne d'Arc : Désolée, mais ça ne me tente pas.
Zinedine Zidane : Alors on ira au zoo ?
Jeanne d'Arc : C'est quoi un zoo ?
Zindenine Zidane : C'est un lieu où se trouvent des animaux en cage ; donc vous voudrez bien y aller.
Jeanne d'Arc : Non désolée, voir des animaux en cage, ça me blesse le cœur !
Zinedine Zidane : D'accord, alors... au cinéma ?
Jeanne d'Arc : C'est quoi un cinéma ?
Zinedine Zidane : C'est rien !
Jeanne d'Arc : Devant nous ! un bateau abandonné !
Zinedine Zidane : Allons y !
Jeanne d'Arc : La coque est abimée ! Vous pouvez la réparer ?
Zinedine Zidane : Oui je vais essayer avec les outils que je trouverai sûrement sur le pont.

Quarante-cinq minutes plus tard

Jeanne d'Arc : C'est bon ? Vous avez fini ?
Zinedine Zidane : Oui mais je ne sais pas comment on le dirige !
Jeanne d'Arc : Moi oui ! C'est parti !
Zinedine Zidane : Voici une carte !
Jeanne d'Arc : Merci beaucoup ! A mon avis, on arrivera en France dans trois jours.
Zinedine Zidane : Très bien, bonne nuit.

Trois jours plus tard

Jeanne d'Arc : C'est bon, on ne devrait plus être loin des côtes françaises !
Zinedine Zidane : Parfait !
Jeanne d'Arc : Je vois une lumière !
Zinedine Zidane : Quel genre de lumière ?
Jeanne d'Arc : La même qui m'a fait venir sur la banquise.
Zinedine Zidane : Ça voudrait dire que l'on ne se reverra plus ?
Jeanne d'Arc : Je crains que non, mon ami ! Adieu !
Zinedine Zidane : Adieu j'ai été ravi de vous rencontrer !
Jeanne d'Arc : Moi de même !

Dialogue rédigé par Dounia et Elyes (Harry Potter et C. J.)

C. J., Harry Potter et un caissier

C. J. rentre dans une pizzeria pour commander une pizza.

C. J. : Salut, caissier tu peux me passer une pizza gratuite ?
Le caissier : Non, on ne donne pas de pizza gratuite ici.
C. J. : Arrête de m'énerver, avant que je te tue !
Le caissier : Bon, prenez votre pizza et plus de grabuge, sinon, j'appelle les flics. (à part) Une pizza vieille d'une semaine... Bon appêtit, espèce d'idiot...
C. J. : Merci pour la pizza gratuit et sois cool mec.

CJ va s'assoir pour manger sa pizza. Harry Potter fait son apparition sur son balai de sorcier et rentre dans la pizzéria.

Harry Potter (au caissier) : Monsieur, s'il vous plait, est-ce qu'il y a encore des pizzas au thon ?
Le caissier : Désolé monsieur, il n'y a plus de pizza au thon.
C. J. (à Harry Potter) : Hé, petit garçon, si tu veux, tu peux manger avec moi car la pizza est trop grosse pour moi.
Harry Potter: D'accord, comme tu veux.

Harry Potter s'assied à la table de C. J. et commence à manger de la pizza mais il n'arrive pas à la couper...

C. J. : comment tu t'appelles, jeune homme ?
Harry Potter : Je m'appelle Harry Potter et je suis un magicien, et toi ?
C. J. : Je m'appelle Carl Johnson et mes potes m'appellent C. J. Je suis un gangster. Est-ce que je peux t'appeller Hardy Botter ? C'est plus drôle...
Harry Potter: Si tu veux C. J.
C. J. : Beurk ! Elle est dégueulasse, cette pizza ! Elle est vraiment immangeable tellement elle est dure !
Harry Potter : Hé, qu'est-ce que t'as C. J. ?
C. J. : On m'as pris pour une bête !
Harry Potter : Viens, on va voir la personne qui t'a donné cette pizza.

Harry Potter et C. J. vont voir le caissier.

Le cassier : Qu'est-ce que vous voulez manger monsieur ?
C. J. (avec culot) : Redonne moi mon argent, sinon je vais te tuer.
Harry Potter : Arrête, tu vas avoir des problèmes...
C. J. : Non,je n'arrête pas s'il ne me donne pas mon argent !
Harry Potter : Mais CJ, qu'est-ce que tu fais ?
C. J. : Oh ! Merde je viens d'assommer le caissier avec cette foutue pizza. ! Je vais aller en prison à cause de ce caissier et de sa pizza tellement dure !
Harry Potter : Et ne parlons pas de moi, je vais partir en prison pour non assistance à personne en danger.
C. J. : Au revoir, à la prochaine Hardy Botter. Je file !
Harry Potter : Je te laisse aussi, mon ami, et quand je rentrerai dans une pizzeria, je penserai à toi.


Dialogue rédigé par Ali M. (Harry Potter et C. J.)

(Dans une pizzeria)

Harry Potter : Bonjour, je voudrais bien une pizza aux quatre fromages.
Le serveur : Oui, je vous la donne dans dix minutes.
Harry Potter : Merci je vais m'assoir.
C. J. : Bonjour, je voudrais une pizza au fromage.
Le serveur : Désolé, il n'y en a plus. (A Harry) Monsieur, votre pizza.
Harry Potter : Merci ! (
à C. J.) Voulez-vous manger avec moi ?
C. J. : Oui, merci, parce que j'ai la dalle..
Harry Potter : Assis-toi. Moi, je m'appelle Harry Potter, et toi ?
C. J. : Bonjour Harry Potter, moi je m'appelle C. J.
Harry Potter : Qu'est-ce que tu fais dans la vie ?
C. J. : Je suis un gangster, et toi ?
Harry Potter : Je suis un sorcier.
C. J. : Oh, c'est bien les sorciers. C'est trop bon, cette pizza. Merci encore.
Harry Potter : Oh, de rien.
C. J. : Bon, on y go ?
Harry Potter : Allez.
C. J. : On se rejoint à Springfield ?
Harry Potter : Allez moi je vais sur mon balai et toi en avion.
C. J. : Vas-y, à tout à l'heure.

(Dans les airs, au dessus de Springfield)

C. J. : Il faut que je l'appelle. (il prend son téléphone et appelle)
Harry Potter : Allo ? Oui ? C'est qui ?
C. J. : C'est moi, CJ. Tu es où là ?
Harry Potter : Je suis déjà arrivé, et toi ?
C. J. : Moi aussi, tu ne vois pas mon avion ?
Harry Potter : Si ! Je te retrouve au sol.

(Sur la piste de l'aéroport de Springfield)

C. J. : Il s'est bien passé le vol ?
Harry Potter : Oui, et toi ?
C. J. : Oui, tu vas où là ?
Harry Potter : Je vais chez Moe. Tu veux venir avec moi ?
C. J. : oui, merci.
Harry Potter : allez, viens, suis-moi.
C. J. : Il y a de quoi à boire ici ?
Harry Potter : il y a de la defe et du jus de citroulle, alors tu veux quoi ?
C. J. : De la defe. Et toi, tu vas prendre quoi ?
Harry Potter : Un jus de citroulle.
C. J. : Oh, c'est bon la defe ! Tous les jours je viendrai ici maintenant.
Harry Potter : je dois rentrer chez moi. Il commence à faire nuit.
C. J. : Moi aussi.
Harry Potter : Allez, au revoir.
C. J. : Au revoir.

Présentation du blog

Soyez les bienvenus sur le blog de la classe de 6e4 du Collège Pailleron, situé à Paris dans le 19e arrondissement.

Ce blog a pour objet de rendre compte du travail des élèves de la classe qui participent à un projet théâtral qui va de l'écriture à la représentation de textes ayant pour thème le héros.

Ce projet bénéficie d'un double partenariat entre le Collège Pailleron et le Théâtre de la Ville d'une part et la Maison du Geste et de l'Image (M. G. I.) d'autre part.

Il est soutenu par l'Académie de Paris et la D. A. S. C. O. (Direction des affaires scolaires de la Ville de Paris).